Roman Polanski : les détails sordides du viol !
Samantha Geimer, photographiée par Roman Polanski
Roman Polanski en 1977, qui avait 44 ans à l’époque des faits (né le 18 août 1933), a commis un viol sur une mineure avec préméditation, Samantha Geimer, en lui administrant du champagne et du Quaalude (un puissant sédatif). S’il l’a droguée, c’est bien qu’il pensait qu’elle ne serait pas consentante. Il devrait donc nécessairement répondre de son acte criminel et être condamné très sévèrement par la justice !
Samantha Geimer, l’adolescente avec laquelle Roman Polanski a eu des « relations sexuelles illégales » en 1977, a raconté son histoire au Los Angeles Times :
« J’ai rencontré Roman Polanski en 1977, quand j’avais 13 ans. J’étais en quatrième cette année-là, quand il a dit à ma mère qu’il voulait prendre des photos de moi pour une revue française. C’est ce qu’il a dit, mais en fait, après avoir pris des photos de moi dans la maison de Jack Nicholson à Mulholland Drive (Los Angeles, Californie), il a fait quelque chose d’un peu différent. Il m’a donné du champagne et du Quaalude (un puissant sédatif). Et il a abusé de moi. Ce n’était pas du sexe consenti, en aucune façon. J’ai dit non, de manière répétée, mais il ne voulait rien entendre… J’étais seule, et je ne savais pas quoi faire. J’avais peur et, avec le recul, j’avais la chair de poule (…) C’est dur de se souvenir exactement de tout ce qui s’est passé (…). Quand je repense à tout ça, il ne fait aucun doute que ce qu’il a fait était horrible.... » (Los Angeles Times. le 23 février 2003).
Mais les médias et les intellectuels et politiciens, pour protéger Polanski, taisent volontairement les détails horribles de ce viol.
Les voici, selon la déposition faite par Samantha Geimer à la justice américaine :
Samantha Geimer à 13 ans, l’âge du viol de Polanski
ATTENTION :
LE CONTENU DE CETTE VIDEO
EST CHOQUANT !
Affaire Polanski, le témoignage du viol
Extraits de la déposition de la victime (13 ans)
devant le Tribunal de Los Angeles en 1977
(traduit en français)
Le 24 mars 1977, Samantha Geimer (née Samantha Jane Gailey) témoignait devant le Grand Jury du comté de Los Angeles.
Attention, certains passages sont très choquants !
Le 24 mars 1977, Samantha Jane Gailey, appelée en tant que témoin devant le Grand Jury du comté de Los Angeles, a prêté serment :
Le Président :
Melle Gailey, voulez-vous lever votre main droite, s’il vous plaît.
Jurez-vous solennellement devant Dieu que les faits que vous allez rapporter maintenant devant le Grand Jury du comté de Los Angeles seront la vérité, toute la vérité et rien que la vérité ?
Le témoin :
Oui
Le Président :
Merci. Asseyez-vous. Déclinez votre identité et parlez directement dans le micro afin que chacun puisse vous entendre, s’il vous plait.
Le témoin :
Maintenant ? Samantha Jane Gailey.Audition par Mr Gunson, District Attorney adjoint du Conté de Los Angeles
Q : Samantha Gailey, quel âge avez-vous ?
R : 13 ans
Q : Vous habitez avec votre mère et votre sœur dans une résidence à Woodland Hills ?
R : Oui[…]
Q : Quand M. Polanski est venu le 10 [mars, NDLR] 1977 à votre résidence, que vous a-t-il dit ?
R : Il était pressé. Il n’a pas…
Q : Que voulez-vous dire par « il était pressé » ?R : Il dit « Allons-y. La lumière baisse. Dépêche-toi. Prend tes vêtements. ». Et j’allais lui dire : « est-ce que mon amie peut venir avec nous ». Mais je ne l’ai pas fait car il me pressait.
Q : Et alors est-ce que vous êtes partie avec M. Polanski ?
R : Oui
Q : Est-ce qu’il vous a dit où il allait ?
R : Chez son ami.
Q : Est-ce qu’il vous a dit le nom de cet ami ?
R : Non[…]
Q : Comment étiez-vous habillée à ce moment là ?
R : Mon sous-vêtement et une serviette.
Q : A un moment donné vous avez remis votre culotte ?
R : Oui, je l’ai mise immédiatement quand je suis rentrée dans la salle de bain.
Q : Qu’est-il arrivé quand vous vous êtes assise sur le divan ?
R : Il s’est assis à côté de moi et m’a demandé si j’étais OK.
Q : Qu’avez-vous dit, si tel est le cas ?
[…]R : Je voulais répondre « Non, je pense que je ferais mieux de rentrer à la maison » parce que j’avais peur. Mais j’y suis allée et je me suis assise sur le divan.
Q : Vous aviez peur de quoi ?
R : De lui.
Q : Et alors vous êtes allée dans l’autre pièce et vous vous êtes assise sur le divan ?
[…]R : J’ai dit « Non ».
Q : Qu’a-t-il dit ?
R : Il a dit « Bien, tu vas aller mieux »
Et j’ai dit « Non, je ne vais pas aller mieux. Je dois aller à la maison ».
Q : Qu’est-il alors arrivé ?
R : Il m’a enlacée et il m’a embrassée. Et je lui disais : « Non », vous savez, « laissez-moi ». Mais j’avais un peu peur de lui car il n’y avait personne d’autre là-bas.Q : Après vous avoir embrassée, a-t-il dit quelque chose ?
R : Non
Q : Avez-vous dit quelque chose ?
R : Non, pourtant je voulais dire « Non. Allez, rentrons à la maison »
Q : Qu’est ce qu’il a dit après que vous avez dit que vous vouliez retourner à la maison quand vous étiez assise sur le divan.
R : Il a dit « Je vais bientôt te ramener à la maison ».
Q : Alors qu’est-il arrivé ?
R : Alors il est descendu et il a commencé à me faire des câlineries.
Q : Qu’est-ce que cela veut dire ?
R : Cela veut dire qu’il est descendu le long de mon corps c’est à dire qu’il a mis sa bouche sur mon vagin.[…]
Q : Qu’a-t-il fait quand il a mis sa bouche sur votre vagin ?
R : C’était comme s’il me léchait, je ne sais pas. J’étais prête à pleurer. J’étais en quelque sorte…Je voulais dire « Non. Allez. Arrêtez ». Mais j’avais peur.
Q : Et qu’a-t-il dit, si tel est le cas ?
R : Autant que je m’en souvienne, il ne disait rien. Il était… quelques fois il disait des trucs mais j’essayais juste de le repousser, vous savez.[…]
Q : Qu’est-il arrivé après ça ?
R : Il a commencé à avoir un rapport avec moi.
Q : Que voulez-vous dire par rapport ?
R : Il a mis son pénis dans mon vagin.
Q : Qu’avez-vous dit, si tel est le cas, avant qu’il ne fasse ça ?
R : Je n’arrêtais pas de dire « Non. Arrêtez ». Mais je ne luttais pas vraiment parce que je, vous savez, il n’y avait personne et je n’avais aucun endroit où aller.
Q : Qu’a-t-il dit, si tel est le cas ?
R : Il ne m’a pas répondu quand j’ai dit « non ».
Je pense qu’il… qu’il disait quelque chose mais je ne l’écoutais pas et je ne m’en souviens pas.
Q : A ce moment là, votre culotte était enlevée ?
R : Oui.
Q : Comment aviez-vous enlevé votre culotte ?
R : Il l’a enlevé.
Q : Quand était-ce ?
R : Après m’avoir embrassée il s’en est saisi et l’a retirée.[…]
Q : Comment avez-vous su qu’il avait son pénis dans votre vagin ?
R : Je pouvais le dire. Je pouvais le sentir.
Q : Qu’est-il arrivé après qu’il a dit « Veux-tu que je te… étais-ce par derrière ? ».
R : Oui.
Q : Qu’est-il arrivé alors ?
R : Je pense qu’il a dit quelque chose comme, juste après que j’ai dit que je ne prenais pas la pilule, juste avant il a dit « Oh, je ne viendrai pas dans toi alors ».
Et je suis allée…Et il va…Et il m’a mis…Attendez. Puis il m’a levé les jambes et il est entré par mon anus.
Q : Quand vous dites qu’il est entré dans votre anus, que voulez-vous dire par là ?
R : Il a mis son pénis dans mon derrière.
Q : A-t-il quelque chose à ce moment là ?
R : Non.
Q : Avez-vous résisté à ce moment là ?
R : Un petit peu mais pas vraiment parce que…(pause).
Q : Parce que quoi ?
R : Parce qu’il me faisait peur.[…]
Q : Savez-vous s’il a eu un orgasme ?
R : Oui.
Q : Et comment le savez-vous ?
R : Parce que je pouvais le sentir et c’était dans mon sous-vêtement. C’était dans mon sous-vêtement. C’était dans mon derrière et tout ça.
Q : Quand vous dites ça vous pensez qu’il a joui dans votre anus ?
R : Oui
Q : Qu’est-ce que jouir veut dire ?
R : Que son sperme est sorti.[…]
Q : Sur le chemin de la maison est-ce qu’il vous a dit quelque chose ?
R : Il a dit quelque chose comme… Je ne me rappelle plus quand il a dit ça. Il a dit que…
Q : Quand vous dites que vous ne vous rappelez plus quand, est-ce que c’était dans la voiture ou…
R : C’était avant que je sorte dehors. Je ne me rappelle pas exactement quand.
Q : Avant que vous ne sortiez dehors à quel moment ?
R : Quand nous étions dans la pièce. Nous n’avons pas beaucoup parlé sur le chemin de la maison.
Q : Qu’est-ce qui s’est dit ?
R : Il m’a dit « Oh, ne dit rien de cela à ta mère » Et il a dit… Il a dit…, « Oh… ».
Q : Qu’avez-vous dit ?
R : Je ne disais rien.
Il a dit « ne dit rien de cela à ta mère ni à ton petit ami ».
Et j’ai dit… Il a dit quelque chose comme « C’est notre secret ».[…]
Q : Savez-vous quel âge à Roman Polanski ?
R : La quarantaine, je pense.Traduction réalisée par HaOui.com. Traduction originale : http://www.haoui.net/newsletter/2009/Octobre13/exclusif/index.html
RAPPEL DES PEINES ENCOURUES POUR UN VIOL SUR MINEUR :
Le viol d’un mineur de plus de 15 ans est puni par la loi de 15 ans de prison. Les attouchements sexuels sont punis de 5 ans d’emprisonnement dans le même cas.
Si la victime a moins de 15 ans, le viol est puni de 20 ans de prison, et les attouchements de 10 ans de prison, et de 150 000 € d’amende.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2274
Trackbacks
- Condamnations magouilles richesses du PS Parti Socialiste | Soyez Heureux Aujourd'hui ! Bernard Raquin
- J’aimerais bien être de gauche, mais… | Soyez Heureux Aujourd'hui ! Bernard Raquin
- J’aimerais bien être de gauche, mais… | Soyez Heureux Aujourd'hui ! Bernard Raquin
- Les Voix du PANDA » Blog Archive » ON VIT UNE EPOQUE FORMIDABLE
- La liste de la honte des soutiens à Roman Polanski ! | La Question : Actualité Religieuse
- Thème de l’inceste :”Chinatown” de Roman Polanski | Autrement qu'être Mathesis uni∜ersalis Problema Universale Heidegger/Husserl être/conscience : plan vital-ontologique vs plan spirituel d'immanence CLAVIS UNIVERSALIS HEN
C’est délirant et affreux, faire ça à une enfant de 13 ans, ce Polanski est un criminel et doit être jugé.
Polanski avait 44 ans à l’époque des faits, ce n’est pas une erreur de jeunesse !
Ce type est une sale ordure !
Et c’est ce même type qui souhaite maintenant se soustraire à la justice américaine, soutenu par les « intellectuels » français. Honteux et scandaleux !
Les bourgeois se serrent les coudes, surtout quand ils sont les fils du talmud.
La crapulerie de la mafia judéo-pédophile ! Polanski, lui le violeur sodomite, est présenté par les bandits qui se font entendre dans les médias, comme une victime. C’est le monde à l’envers !
Les médias français ont reçu l’instruction de qualifier officiellement ces faits de « relations sexuelles avec mineure ». Ils sont à la botte du pouvoir et en particulier de M. Frédéric MITTERRAND protecteur de POLANSKI.
Une relation sexuelle avec mineure est de toute façon un viol, en droit américain comme en droit pénal français !
POLANSKI est un violeur pédophile qui doit être extradé aux Etats-Unis, comme le veulent la population française, la suisse et l’américaine, n’en déplaise à quelques intellectuels parisiens amis de MITTERRAND, et quelques avocats véreux en mal de reconnaissance publique.
Une erreur de jeunesse ? A 44 ans sur une gamine de 13 ans, c’est dégueulasse !
il mériterais la prison ce nain !
Le silence gêné de tout le milieu cinématographique depuis des années, alors que Polanski est un violeur sur mineure de moins de 15 ans, montre le scandaleux niveau de compromission et de bassesse de cette prétendue élite du monde people.
C’est tout simplement honteux !
Quant à lui proposer de présider une cérémonie de remise des Césars….là on touche le fond complètement !
L’atteinte et l’agression sont des délits jugés en correctionnelle, le viol est un crime jugé aux assises.
Toute relation sexuelle avec un mineur de moins de 15 ans, de quelque nature qu’elle soit, est présumée constituer une infraction punie d’une peine de prison. Même si le mineur a donné son consentement ou s’il a pris l’initiative, son partenaire est puni.
Il n’existe aucune règle de prescription spécifique aux infractions sexuelles.
L’article 216 du code pénal définit le viol comme le rapport sexuel auquel on est contraint par la force ou par la menace de l’emploi de la force.
Le viol est sanctionné par une peine de prison.
Bien que l’article 216 n’exclue pas le viol d’un mineur, celui-ci est puni sur la base de l’article 222 qui réprouve toute union sexuelle avec un enfant de moins de 15 ans et la sanctionne d’une peine de prison.
Même si le mineur a donné son consentement ou a pris l’initiative de l’acte, le partenaire le plus âgé est puni. Dans le cas d’un rapport sexuel avec un enfant de moins de 15 ans, il y a donc présomption irréfragable de viol.
Si la victime a moins de 15 ans, le viol est puni de 20 ans et les attouchements de 10 ans de prison et de 150 000 € d’amende.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Abus_sexuel_sur_mineur_en_France
Les sénateurs viennent de voter une proposition de loi modifiant les délais de prescription de l’action publique pour les viols et les agressions sexuelles sur mineurs.
Cette loi modifie les articles 7 et 8 du code de procédure pénale en portant le délai de prescription pour les viols et les agressions sexuelles avec circonstances aggravantes de 20 à 30 ans après la majorité (jusqu’à 48 ans), et de 10 à 20 ans après la majorité (jusqu’à 38 ans) pour les autres agressions sexuelles.
Et c’est ce type que elizabeth levy defend sur rtl avec marc olivier fogiel ! Je vous invite à réécouter ses propos scandaleux ! Cette femme n’a vraiment pas la lumière à tous les étages !
Horrible !
Merci à Vogue et tous les magazines féminins qui n ont jamais jamais rien fait pour mettre en garde ou proteger les gamines comme les femmes.
Merci au juge qui avait classé le viol ! La france fait pareil. Tous les viols sont déclasses en agression.sexuelle
Merci aux femmes.jalouses.qui.s.empressent de soutenir les violeurs et harceleurs sexuels
Ce criminel doit payer ; cet acte immonde réclame justice !
La police suisse a annoncé enquêter sur des accusations d’agression sexuelle lancées contre Roman Polanski, par une femme qui affirme que le réalisateur franco-polonais l’a agressée à Gstaad, en 1972.
A l’origine de cette enquête, Renate Langer, une actrice munichoise de 61 ans qui dit avoir été violée par le réalisateur à l’âge de quinze ans. Interrogée le 26 septembre par la police suisse, elle est revenue sur sa rencontre avec Roman Polanski lorsque elle était mannequin à Munich. Attirée par la possibilité d’un casting, elle aurait rendu visite au metteur en scène de « Rosemary’s baby » et « Chinatown » dans sa maison de Gstaad où il l’aurait violée.
Trois jeunes femmes, mineures, ont déjà accusé le réalisateur de faits similaires.
http://www.huffingtonpost.fr/2017/10/04/nouvelle-accusation-de-viol-contre-polanski_a_23232019/