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Le réalisme chrétien contre la pensée mythologique

2 juin 2023

« L’Eglise non seulement conseille,

mais ordonne aux Docteurs chrétiens

d’appeler à leur aide la philosophie ».

Léon XIII – Æterni Patris, 1879.

L’athéisme tente d’imposer l’idée que la religion relèverait d’une pensée iréelle, abstraite. Or c’est sans doute l’inverse qui est le cas, puisque l’athéisme philosophique repose sur un idéalisme religieux, une religion magique et idolâtrique qui n’est autre que le vieux panthéisme païen.

En effet, la pensée philosophique n’est pas étrangère au christianisme, et la longue et riche histoire de la philosophie chrétienne, prouve les liens privilégiés qu’entretiennent l’interrogation et la Révélation. Même si les éléments de la philosophie semblent aujourd’hui, à la faveur de l’athéisme et de la désacralisation, se perdre dans des spéculations délirantes, il est bon, d’autant que beaucoup se demandent parmi les étudiants catholiques ce que peut être une perspective philosophique authentique en peinant à rédiger leurs thèses tout en n’entendant plus rien au thomisme, de présenter les bases initiales de la pensée réaliste, bases qui ont été développées à travers les siècles par les docteurs et théologiens de l’Eglise et trouvent encore au XXe siècle des maîtres de premier ordre comme, le père Garrigou-Lagrange, Aimé Forest, Etienne Gilson ou encore Jacques Maritain, pour ne citer que les plus connus.

I. L’enseignement de l’Eglise

En réaction aux thèses matérialistes idéalistes et subjectivistes, le pape Léon XIII dans l’encyclique Æterni Patris sur la Philosophie chrétienne datée du 4 août 1879 invitait à l’étude de la philosophie de saint Thomas d’Aquin et la prescrivit pour la formation sacerdotale dans les séminaires.

« Toute assertion contraire à la vérité de la foi surnaturelle

est absolument fausse,

attendu que le vrai ne peut être contradictoire au vrai… »

  Mais il convient de savoir que l’Eglise catholique préconise toujours l’enseignement de la doctrine de saint Thomas (notamment par la liste des 24 thèses thomistes du Pape saint Pie X toujours en vigueur). En effet en 1914 la Congrégation romaine des Séminaires et Universités promulgua une liste de 24 thèses thomistes considérées comme normæ directivæ tutæ afin de lutter contre le modernisme : c’est la principale mesure intellectuelle prise par l’Église Catholique durant la crise moderniste. Après la mort de Pie X, en 1917, le Pape Benoît XV fit réviser le Code de droit canonique, recommandant la doctrine de Thomas et approuvant les 24 thèses.

Toutefois, quelles sont les bases de la philosophie chrétienne, qui mettent à jour l’erreur profonde du matérialisme magique et irrationnel ?

II. Qu’est-ce que l’interrogation ontologique ?

Il est en effet très curieux, surprenant même, de voir s’enflammer l’esprit pour une essence, et qui plus est de le voir transmettre ce feu comme si en dépendait tout le sens même de la validité existentielle de sa présence au monde. L’interrogation matinale sur la vérité, sur les principes premiers est donc incontestablement et viscéralement logée au plus profond de la fibre intime de l’être humain, l’homme est celui qui interroge. Poser donc la question de l’essence de la philosophie, c’est inévitablement se trouver en face de l’essence de l’interrogation. De ce fait répondre à : « qu’est-ce qu’interroger ? » serait déjà répondre en partie à : « qu’est-ce que la philosophie ? »

Aristote

« Qu’est-ce qu’interroger ? »

Toutefois n’est pas forcément philosophique n’importe quelle réponse à n’importe quelle interrogation, d’ailleurs la philosophie ne surgira sur la scène de l’histoire en tant que telle, c’est-à-dire en tant que pensée authentique, qu’en exposant une méthode originale (non originaire puisque le mythe vient avant la pensée), du processus de la question et de la réponse. Or ce procès dialectique est en réalité un procès ontologique, ce qui revient à dire qu’il regarde l’existant dans son ensemble et l’interroge comme existant, l’interroge comme présence. Et c’est bien du fait que l’existant soit présent qui étonne radicalement le philosophe, c’est cette présence massive et énigmatique qui l’éveille à la pensée de l’être.

III. Une Présence Etonnante.

Mais si c’est bien de l’être dont il est question, qui fait la question, si c’est bien de l’être dont-il s’agit lorsque nous parlons de présence, la philosophie se distinguera alors en ce qu’elle pense qu’il ne saurait y avoir de réponse ne respectant pas les lois propres de l’être lui-même. C’est pourquoi son approche de la question est une ontologie, et non une mythologie.

Une ontologie en ce sens que, « la vérité logique et la vérité ontologique sont toujours unies, car le principe d’être est aussi le principe du connaître, il ne saurait être séparés » [1], mais aussi une ontologie au titre de sa manifeste curiosité au sujet de l’être en lui-même et de ce qui en dépend, une curiosité étonnée, nourrie de la surprise vis-à-vis du fait qu’il y ait de l’être et non pas rien.

Il faut bien en convenir, c’est tout de même de cette surprise, de cet étonnement, qui sont comme l’aurore de toute pensée véritable, que provient le saisissement devant l’existence ; et à ce titre nous sommes bien en présence d’une expérience existentielle en fait d’expérience philosophique, où s’éveille, dans l’étonnement, l’être de l’étant. Si l’on y pense il est bien plus étonnant qu’il y ait quelque chose plutôt que le néant, le fait qu’il y ait quelque chose est bien plus surprenant, à la réflexion, que si rien n’avait jamais surgit du rien. Mais il y a de l’être, et c’est bien ce qui fait question, la question, la question par excellence de la philosophie : pourquoi l’être et non pas le néant ?

« Il ne saurait y avoir de réponse  ne respectant pas les lois propres de l’être lui-même. C’est pourquoi son approche de la question est une ontologie, et non une mythologie. » (Saint Thomas d’Aquin).

    « L’existence, la substance, la vie, sont immédiatement saisie par l’intelligence disait le père Garrigou-Lagrange (1877-1964), avant toute démonstration. […] L’existence, la substance, la vie ne sont certes pas des qualités sensibles, comme la couleur ou le son, ni des objets sensibles communs à plusieurs sens, comme l’étendue ou la figure des corps ; mais immé­diatement, dès que se présente le corps d’un homme qui vient vers toi, tu perçois par ton intelligence ce qu’un chien ne per­cevra jamais, lui qui ne peut saisir le sens (le ce petit mot est, tu perçois par ton intelligence qu’il y a là non pas seulement du coloré, mais de l’être, du réel, avec plus d’attention un être qui est un et le même sous ses phénomènes multiples et chan­geants, c’est-à-dire une substance ; avec plus d’attention encore, un être qui agit par lui-même, qui marche, respire, qui parle, en un mot qui vit. Tu saisis tout cela sans avoir besoin de raisonner ; c’est plus sûr que tes raisonnements ; tu n’en doutes évidemment pas. Autrement, pourquoi me parlerais-tu, si tu doutais de mon existence et de ma vie ? » [2]

IV. Le Consentement au Réel.

Encore faut-il, pour ressentir cette présence de l’être, se laisser questionner par ce qui est, accepter d’être interroger par l’existence concrète et immédiate, ne pas masquer ou empêcher la possibilité d’émerveillement devant le réel. Le philosophe est celui qui accepte d’arracher le voile de l’habitude mondaine qui obscurcit la relation primordiale à l’être, afin de laisser libre cours au regard authentique. Cette disposition est une ouverture consentante, une disponibilité car, « l’homme qui parle de l’être, doit se situer dans l’étonnement qui l’ouvre à ce dont il provient [3]. » Or l’étonnement à ce dont nous provenons a été tout simplement oublié, perdu. C’est ce long chemin de retour qu’il nous faut effectuer, un « chemin qui reculant nous mène en avant ».

Le chemin de retour est tout d’abord un consentement à l’être, une soumission acceptée. De toute manière, il ne s’agit pas de céder à une sollicitation qu’on serait à même de refuser, le réel ne nous fait pas juge de son opportunité : il est ! Consentir au réel c’est donc tout simplement reconnaître qu’il fait question, c’est accueillir tout simplement et intelligemment le choc des choses. C’est penser honnêtement l’objectivité du réel, son indépendance par delà notre faible subjectivité personnelle. C’est oser affirmer sans crainte la suprématie et l’antériorité de l’être sur la conscience, de l’existence sur l’essence.

aristote-2

« L‘homme qui parle de l’être,

doit se situer dans l’étonnement

qui l’ouvre à ce dont il provient.»

(Aristote)

 

   Comme le soulignait Mgr Charles Journet dans son Introduction à la théologie (1947), « l’ouverture au réel passe par la compréhension que l’idée ne donne pas l’existence, mais qu’elle en est issue« . Le réel n’est pas créé par la pensée ; méconnaître la dépendance première de la pensée vis-à-vis de l’être c’est enfermer la pensée en elle-même, la rendre sourde au concret, c’est tomber dans un idéalisme narcissique incapable d’appréhender la réalité elle-même. Dans un premier temps penser l’être, c’est penser l’être concret c’est-à-dire ce qui est comme étant et non comme idée. Il est fondamental de comprendre que l’on ne rejoint jamais l’être par l’idée, parce que l’idée provient du réel et qu’elle n’est pas première -l’idée est soumise au réel- elle est produite par l’existence et non productrice de l’existence. Le propre de la philosophie grecque c’est d’avoir découvert que l’existence n’est pas une détermination comme les autres, elle ne s’identifie à aucuns des étants mais doit être comprise comme la possibilité de chaque étant à subsister dans son être.

On ne rejoint jamais l’être par l’idée, parce que l’idée provient du réel et qu’elle n’est pas première. Etre fidèle à la nature même de la philosophie, c’est savoir consentir à la primauté décisive et matinale de l’existence elle-même.

L’existence est la détermination initiale, et à ce titre être fidèle à la nature même de la philosophie, c’est savoir consentir à la primauté décisive et matinale de l’existence elle-même. Ce consentement est en même temps une disposition accueillante, une disposition originaire, qui ouvre l’esprit et rend possible la saisie de ce qui est. Cette disposition permet à l’esprit de vérifier son accord intime avec le réel, de s’ouvrir vitalement au monde, car l’objet du discours philosophique est d’entendre ce que les choses disent effectivement par le fait même qu’elles sont.

Conclusion

Tel est le sens de l’ouverture ontologique au réel, tel est le sens même de la démarche philosophique. « Cette attitude qui consiste à s’émerveiller, à s’étonner est typique du philosophe ; la philosophie en effet ne commence pas autrement » [4]. L’affirmation de l’être est avant tout un acte de fidélité de la pensée à l’acte premier qui anime toute réalité, la pensée aussi bien que les choses, et fonde par la même la relation de la pensée aux choses.

La reprise d’une démarche ontologique impose, comme son impératif premier et primordial, ce consentement à l’être sans lequel aucune démarche authentique ne peut être sérieusement mise en oeuvre. Il ne s’agit pas de considérer cet impératif comme une invitation subsidiaire, car la dimension de présence des choses qui sont, est une dimension ontologique dont nous avons, certes, pour mission de mettre en lumière le lien constitutif, mais surtout à nous laisser enseigner par leur existence réelle : la réalité est le premier maître. Revenir en toute simplicité au réel, c’est obliger le sujet à faire silence et accueillir ce qui est, accueillir le réel dans toute sa force matinale et brutale.

Notes.

[1] Aristote, Métaphysique, Vrin, 1964. Pour Aristote la logique a un rôle fondamental, comprendre ce qui arrive en observant les lois de ce qui existe de manière à pouvoir énoncer une connaissance véritable des êtres et des choses, et par analogie de l’être en tant qu’être. L’être pour Aristote ne peut pas être étranger aux catégories logiques, puisque ces catégories sont des attributions de l’être lui-même.

[2] R. Garrigou Lagrange, o.p., Hasard ou finalité, sens commun et philosophie, Revue Thomiste, 36 N.S. 14, 1931. Le Père Garrigou-Lagrange poursuivait ainsi sa réflexion dans ce texte fondamental : « L’existence, la substance, la vie sont des objets non pas sen­sibles de soi, mais intelligibles, appelés pourtant sensibles per accidens, car ils accompagnent le sensible et sont immédia­tement saisis par l’intelligence dès la présentation des objets sentis. Toi, qui nies l’objectivité de la connaissance humaine, tu n’as pas l’air de te douter que c’est là son premier contact avec le réel et le fondement de l’épistémologie que tu déclares vaine sans savoir ce qu’elle est. Tu nies au fond la causalité efficiente comme la finalité; tu nies que le soleil nous éclaire et nous réchauffe, que le rossignol chante, que le chien aboie et qu’il aboie pour quel­que chose; tu nies la cause efficiente et la fin inséparables l’une de l’autre, et tu ne sais pas ce qu’elles sont ; tu n’as jamais pris garde que ce sont des sensibles per accidens. L’agent produit ou réalise son effet ; quelle faculté peut saisir cette réalisation, celle qui a pour objet la couleur ou celle qui a pour objet le réel ou l’être ? Lorsque tu heurtes un corps, tandis que tes sens, comme ceux de l’animal saisissent sa dureté, ton intelligence saisit immédiatement l’impression passive reçue et l’impression active exercée sur toi. Comme elle appréhende sans raison­nement le réel ou l’être, elle saisit aussi la réalisation active et passive de ce réel senti. Elle voit de même que toute réali­sation active et passive tend vers un but, autrement l’action de l’agent seraient sans raison d’être, il n’y aurait pas de raison pour agir plutôt que pour ne pas agir, ni pour agir ainsi plutôt qu’autrement. Aussi, lorsque de tes yeux tu regardes les miens, ton intelligence saisit aussitôt, à n’en pas douter, qu’ils sont faits pour voir, et non pour entendre ou savourer. »

[3] Aristote, Ibidem.

[4] Platon, Théétète, 155 d. Les Belles Lettres, 1967.

83 commentaires leave one →
  1. Sulpice permalink
    20 Mai 2011 11:12

    « L’étude de la philosophie consiste à savoir non ce que les hommes ont pensé, mais ce qui est réellement. » [Studium philosophiæ non est ad hoc quod sciatur quid homines senserint, sed qualiter se habeat veritas rerum]

    Saint Thomas d’Aquin, Commentaire sur le traité du Ciel et du Monde (d’Aristote), livre I, leçon 22, n° 8.

  2. 20 Mai 2011 11:22

    On avait vu cela en philosophie et en histoire de la psychologie =)

  3. Pie permalink
    20 Mai 2011 11:59

    C’est en 1931, que le feu fut mis aux poudres de l’Université, sur la question de savoir s’il existait ou non une philosophie chrétienne.

    D’un côté, les rationalistes, avec en tête Émile Bréhier et Léon Brunschvicg, sans compter Heidegger en Allemagne qui jeta de l’huile sur l’incendie : « La philosophie chrétienne est du fer en bois et un malentendu ».

    De l’autre, Gilson et Maritain, qui se serraient les coudes pour en défendre à la fois le fait et le droit.

    • 4 juin 2011 09:04

      @ Pie : La fameuse formule de Heidegger qui dit que la «philosophie chrétienne est du fer en bois » n’est pas en soi une formule anti-chrétienne, même si Heidegger, quoique initialement catholique (autant que je sache) a pu être contaminé à la fois par le néo-paganisme nietzschéo-national-socialiste d’une part, et par l’influence d’une forme de pratique théologique luthérienne que l’on pourrait dire ultra-positive — exégèse pure du donné révélé, sans appui traditionnel ni cadre philosophique.

      Je dirais pour ma part que Heidegger était essentiellement choqué par l’idée que l’on prenne un parti avant de philosopher et que l’on donne cette prise de parti pour cadre présupposé à l’exercice de la pensée.

      En somme, ce n’est pas tant au christianisme, ou même à ce que la philosophie factuellement chrétienne a pu produire, qu’il était hostile, mais, à mon avis, à l’attitude de ceux qui ne veulent de la philosophie que comme instrument apologétique au service du christianisme. Il n’aurait pas été choqué, par principe, par une entreprise philosophique aboutissant naturellement, et sans l’avoir cherché, et en suivant ses procédures propres, à des conclusions intégralement chrétiennes. Il en avait surtout contre l’esprit de parti en philosophie.

      Cela dit, il a écrit aussi pas mal de choses assez méprisantes contre, disons, la scolastique et, plus généralement, hormis son mémoire sur le pseudo-Duns Scot (Traité des catégories et de la signification), il n’a jamais marqué d’intérêt sérieux pour toute l’histoire de la pensée entre, disons, les début de l’ère chrétienne (il ne cite qu’à peine et en passant les néo-platoniciens — bien davantage S. Augustin, qui est l’un des auteurs les plus cités dans Etre et Temps, après Aristote) et la fin de la Renaissance. Comme dans notre ancienne philosophie scolaire, il y a chez lui un trou immense entre l’Antiquité et l’Age classique. Ce qui, après tout, vous autorise à prendre sa formule au sens que vous lui donnez et rend un peu vaine ma tentative pour l’excuser.

      Au fait, un livre à lire, qui jette une lumière assez neuve sur Heidegger : Christian Sommer, Heidegger, Aristote, Luther : les sources néo-testamentaires d’Etre et Temps, PUF, Épiméthée, 2005.

    • Pie permalink
      4 juin 2011 12:38

      Sébastien Derouen

      Je suis moins admiratif que vous à l’égard de Heidegger, en réalité jamais il n’aura été plus près des sophistes que dans ses déductions philologiques purement subjectives.

      Certes la première période, où la lumière portée de s. Augustin dans Etre et Temps permet de beaux rayons existentiels, relève d’une excellente approche. Duns Scot et sa question de l’étant, n’y est pas étranger non plus (au fait pourquoi donnez-vous du « pseudo » à l’illustre penseur de l’univocité de l’être au XIIIe siècle, désigné par l’Eglise comme le Doctor subtilis ?)

      Mais la sclérose est intervenue assez vite, le carrousel s’est mis a tourner à vide… Ce sont les calembours, notamment dans les derniers textes des séminaires, guère plus sérieux que ceux du vieil Hugo… On comprend mieux que tant de fanatiques français du philosophe soient d’anciens surréalistes, peu au courant de l’allemand, mais séduits par des jeux de mots énoncés avec gravité.

      Quant à ses passages sur la distinction entre foi et « la pensée », ils sont inexcusables, surtout pour quelqu’un comme lui qui avait bénéficié d’ une bonne formation scolastique. Heidegger n’a pas voulu dialoguer avec le christianisme, mais bien le détruire, il suffit de se pencher sur son opuscule « Phänomenologie und Theologie » de 1927, où sont discutés les rapports de la Philosophie et de la Théologie.

      Gilson et Maritain eurent raison de lutter contre lui et de dénoncer la vaniteuse idole philosophique qui voulut ramener la Grèce en biffant vingt siècles de philosophie chrétienne. Voilà le programme du destin historial de la pensée selon Heidegger : « la reprise d’une véritable démarche de nature ontologique, à l’école de la pensée fondatrice de ceux qui éclairèrent l’aurore matinale du logos philosophique, par delà plusieurs siècles d’oubli de l’être. »

  4. Moria permalink
    20 Mai 2011 12:02

    Etienne Gilson est arrivé à saint Thomas par le Moyen Âge, et au Moyen Âge par Descartes.

    En 1900, la philosophie médiévale était en France une terre inconnue ou méprisée. C’est en cherchant les sources médiévales de Descartes que Gilson découvrit des auteurs qui le ravirent : SS. Augustin, Bernard, Bonaventure, Thomas d’Aquin etc.

  5. Périclès permalink
    20 Mai 2011 23:14

    Voici une oeuvre du père Garrigou-Lagrange tout aussi intéressante:

    GARRIGOU-LAGRANGE – La Sainte Vierge et la France
    LA SAINTE VIERGE ET LA FRANCE
    (Appendice de l’ouvrage du P. Garrigou-Lagrange La Mère du Sauveur et notre vie intérieure)
    Nous achevons cet ouvrage un an après la défaite de juin 1940, défaite qui a été la suite manifeste des fautes
    accumulées par les gouvernants qui déchristianisaient la France, en désorganisant le travail, la famille et la patrie.

    http://nouveauroidefrance.forumactif.net/t495-marie-notre-mere-la-sainte-vierge-et-la-france-par-le-pere-garrigou-lagrange-op

  6. Périclès permalink
    20 Mai 2011 23:21

    Puis un autre document digne d’intérêt également pour les intéresser:
    Une analyse toujours d’actualité sur les deux camps
    « SI LE SEL DE LA TERRE NE S’AFFADIT PAS, NOTRE SOCIETE PEUT ENCORE ETRE SAUVEE »
    DU NATURALISME CONTEMPORAIN
    ÉTUDES CONTRE LE NATURALISME CONTEMPORAIN
    Extrait de : HISTOIRE UNIVERSELLE DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE
    par L’ABBE ROHRBACHER
    Nouvelle édition par Monseigneur Fèvre, Protonotaire apostolique :

    http://www.liberius.net/livres/Du_naturalisme_contemporain_000000005.pdfirie Louis Vives, 1904 – Tome premier, pp. 254-2621

  7. Charles permalink
    21 Mai 2011 21:56

    Philosophie, métaphysique, théologie, c’est très bien. Très bon niveau de La Question sur ce terrain, l’un des meilleurs blogs catholiques du milieu tradi en matière de doctrine.

    Cependant si vous êtes assez prolixes sur le judaïsme, on ne vous entend pas beaucoup, pour ne pas dire jamais sur l’islam. Oubli volontaire ou non de votre part ?

    Quelle est votre position exacte sur le sujet ?

    • Leszeck permalink
      21 Mai 2011 23:33

      Bien d’accord, voilà une riche idée.

      Qu’est-ce que vous avez à dire de concret sur l’islam ?

  8. apostolatus specula permalink
    21 Mai 2011 22:41

  9. apostolatus specula permalink
    21 Mai 2011 23:12

    la Foi, n’est pas seulement un savoir c’est même autre chose qu’une connaissance intellectuelle …

    • Leszeck permalink
      22 Mai 2011 14:57

      D’accord, mais des articles du style « Les catholiques doivent défendre le voile islamique ! »
      https://lebloglaquestion.wordpress.com/2010/01/29/les-catholiques-doivent-defendre-le-voile-islamique/ ne rassurent pas beaucoup. On se demande si La Question est vraiment claire sur le sujet de l’islam ? On sent comme une ambiguïté dans le discours.

    • gerdil permalink
      22 Mai 2011 22:51

      Leszeck

      Je pense pas qu’on puisse faire un procès à La Question pour une éventuelle ambiguïté à l’égard de l’islam. Ce qui a été publié sur le sujet (comme le rappelle Tchetnik) a toujours été clair.

      Critique théologique de l’islam en tant que religion, mais défense des musulmans qui veulent pratiquer selon les préceptes de leur foi, ceci contre le laïcisme et les lois républicaines.

      Cette position a toujours été affirmée nettement. Où est le problème ?

    • Leszeck permalink
      23 Mai 2011 00:38

      Les amis de La Question, les Intransigeants, écrivaient en totale inconscience sur leur blog :

      « D’un point de vue strictement doctrinal et philosophique, ils sont plus proches de nous que nos ennemis protestants car les musulmans, eux au moins, ne sont pas libéraux (le libéralisme découlant de la révolution protestante avec les notions de libre-pensée, libre-interprétation, etc …). Nous nous plaisons donc à regarder ce qu’ils ont conservé de traditionnellement vrai dans leurs croyances (puisqu’ils ont reprit beaucoup d’éléments du catholicisme), ce que même nos frères modernes en “Chrétienté” ont rejeté … »

      Est-ce que La Question souscrit à cette position ?

    • Moria permalink
      24 Mai 2011 02:37

      Très juste comme analyse : « D’un point de vue strictement doctrinal et philosophique, ils sont plus proches de nous que nos ennemis protestants car les musulmans, eux au moins, ne sont pas libéraux… », et c’est bien le libéralisme qui nous fait mourir, l’égoût collecteur de toutes les hérésie comme le disait saint Pie X du modernisme !

      Je pense que La Question doit souscrire à cette position, puisqu’elle ne eu de cesse de critiquer avec une grande sévérité le libéralisme philosophique depuis toujours.

  10. Dan permalink
    22 Mai 2011 15:01

  11. Dan permalink
    22 Mai 2011 16:45

  12. Dan permalink
    22 Mai 2011 16:52

    Prophétie….en 2048 !

  13. Celias permalink
    22 Mai 2011 17:00

    Le père Samuel en prêche :

    Charles Clément Boniface Ozdemir (né en 1942), dit le Père Samuel, est un prêtre belge. En désaccord avec la hiérarchie catholique belge depuis 1990, le Père Samuel officie dans la région de Charleroi au sein du diocèse de Tournai indépendamment de l’évêque. Il se caractérise entre autres par ses pratiques traditionalistes ainsi que ses positions très critiques envers l’islam.

    En 2002 le prêtre tient au sujet de l’islam des propos explosifs. Devant les journalistes, le prêtre déclare notamment que l’islam sera, dans un futur proche, « le problème majeur de l’Occident », et il ajoute notamment que construire une mosquée en Europe est « pire que le nucléaire ».

    • Monsieur permalink
      23 Mai 2011 19:36

      Le Père Samuel a été condamné pour escroquerie…

  14. Providas permalink
    22 Mai 2011 17:06

    Site officiel – du Révérend Père Samuel.

    http://www.peresamuel.be/

    L’islam est une religion inspiree par le démon !

  15. lève-toi permalink
    22 Mai 2011 22:52

    Il y a tellement à dire sur l’islam, que de le résumer est difficile.
    Nous savons avec certitude que Mahomet n’a jamais existé, la vérité sort du puits de plus en plus, même si les auteurs sont peu nombreux à « oser » dénoncer cette imposture.
    Mais que voulez-vous, les Hébreux ont eu Moïse, les Chrétiens ont eu le Christ, alors pour faire sérieux il allait bien avoir un personnage marquant et manquant à l’appel,on inventa alors Mahomet, qui comme par hasard est « Annoncé par l’Ange Gabriel » comme pour Marie, le culot est parfois payant.
    Les Ommeyades dans les premiers corans ( coran adapté au fur et à mesure des besoins des autorités auto-proclamées) ne parlent ni de Mahomet, ni de La Mecque, ni de Médine, mais plus tard les Abbassides ne vont pas se gêner, et pour fédérer les prédateurs bédouins amateurs de rezzous, les marchands et les Caïds assoiffés de pourvoir, vont installer et imposer ce canular dont tous profiteront, les bédouins peu enclins à croire ne se formaliseront pas pour faire un Rezzou Géant, suite à l’affaiblissement des Empires Grec et Perse en guerre, et la machine -coran + haddits ( en veux-tu en voilà) va fonctionner à plein, la régression du peuple Arabe va commencer, car l’islam est la pire régression connue dans le monde, il suffit de voir l’abrutissement des peuples infectés, la destruction de leurs structures mentales.
    Dur de résumer, le mieux c’est de lire les auteurs réalistes et sérieux, ils sont assez nombreux pour cela (Laurent Lagartempe, Alcader, Nahed Mamhoud Metwalli, Etienne Couvert, Alain Pascal etc…etc)
    Tous ces auteurs sont accessibles chez SA DPF. Chiré-en -Montreuil.

    • Ziltoid permalink
      23 Mai 2011 18:26

      C’est marrant on peut dire exactement la même chose des chrétiens… Ah cette bonne vieille histoire de poutre et de paille !

  16. avouedusaintsepulcre permalink
    23 Mai 2011 19:26

    Retour au réel ! Très bon texte.

    Pour rebondir d’ailleurs sur une question posée ici plus haut à propos de l’Islam, j’emploierai la même formule, à savoir une bonne dose de réalisme. Cher lecteur, quelle est la raison profonde de la présence de l’Islam en Europe ? D’où vient que le sel de la terre s’est affadi au point que tous les catholiques aient perdu leur capacité de résistance à l’envahisseur. Avant de s’attaquer aux symptômes de la maladie, on s’attaque à la cause de celle-ci…c’est du bon sens.

    Eh je ne vois rien de choquant dans la citation sur le libéralisme protestant, oui trois fois oui pour la stabilité de la société et la paix des ménages, plutôt une femme en voile qu’une protestante féministe ! Marre de ces bouffons chauvins qui pleurnichent sur l’Islam. On les mettra dehors le jour où on fera le ménage chez nous. Si on ne le fait pas, la dhimmitude sera un juste châtiment voulu par Dieu pour faire comprendre aux catholiques leur incommensurable manque de fidélité, comme l’exil des Juifs à Babylone.

    Les Intransigeants

    • sand permalink
      24 Mai 2011 23:01

      avouedusaintsepulcre

      Vous résumez parfaitement la situation : « Avant de s’attaquer aux symptômes de la maladie, on s’attaque à la cause de celle-ci…c’est du bon sens. »

      Malheureusement beaucoup de voient pas si finement et en reste à une vision superficielle des choses. C’est pourquoi des sites comme La Question (et les Intransigeants dont on espère un jour le retour, mais pas trop tard car le combat a besoin de ceux qui savent lutter efficacement contre le NOM et les puissances du mal), sont très utiles pour ceux qui refusent la situation présente.

      Cordiales pensées à toute l’équipe des Intransigeants !

    • lagomer permalink
      25 Mai 2011 23:21

      Je constate que La Question est quasiment l’un des rares blogs de la mouvance (avec Semper Fidelis et Ripoublik), à avoir conservé le lien sur les Intransigeants, et c’est une très bonne idée car on espère voir revenir un jour le petit noyau des animateurs de ce qui fut l’un des lieux les plus dynamiques de diffusion de la Tradition sur la toile !

  17. Clark permalink
    23 Mai 2011 21:15

    Vous avez de bons arguments, c’est pourquoi j’aime toujours voir votre blog. Il semble que vous etes expert dans le domaine de la doctrine. Merci pour maintenir ce bon travail.

    Mon ami recommander votre blog.

    Mon francais n’est pas tres bon, je suis de l’Allemagne.

    Salut catholique.

  18. lève-toi permalink
    23 Mai 2011 22:19

    Clark

    J’aimerais savoir parler l’Allemand aussi bien que vous parlez le Français, qui est loin d’être mauvais.

    Ziltoid

    La paille et la poutre, comme résumé c’est un peu vide, enfin, c’est comme çà. N’oubliez pas toutefois de comparer les fruits du Christianisme avec son immense Civilisation, la seule d’ailleurs, et l’islam avec sa barbarie, à moins que réfléchir ne vous soit trop pénible, ou impossible.

  19. Ziltoid permalink
    23 Mai 2011 22:55

    La seule ? Donc les habitants des pays asiatiques vivent dans les arbres ? La Scandinavie avant la « conversion » il se roulaient dans la boue en se jetant des excréments à la face ? Les égyptiens ont fait des beaux p’tits tas de terre avant que les chrétiens leur montre comment faire des pyramides ? Les romains gambadaient dans les bois ?

    Faut arrêter un peu avec votre religion, elle n’est supérieure que dans votre esprit ! Et pour mon « résumé », c’est tout à fait suffisant vu que votre beau discours peut être retourner contre vous d’un coup de poêle à frire !

    • Périclès permalink
      24 Mai 2011 08:59

      Tu est Absurde Ziltoïd!!!

    • Silverblade permalink
      24 Mai 2011 09:15

      C’est vrai que sans la culture chrétienne l’Europe ce serai pas ce qu’elle est avec son magnifique patrimoine historique.

      Mais sans les civilisation antérieure au christianisme ils n’auraient eu aucunes fondations pour batir leurs empire, surtout quand on sait qu’ils ont même reprit des choses de ces civilisation paiennes, comme certaines divinité qui furent transformer en saints.

  20. Ziltoid permalink
    24 Mai 2011 09:29

    Lève toi prétend que le christianisme est la seule « Civilisation » et c’est moi qui suis absurde ?

  21. 24 Mai 2011 10:03

    Lève toi … « et l’islam avec sa barbarie » … Encore une généralisation basée sur la folie des intégristes islamiques !

    Généraliser, vous ne savez faire que ça … les intégristes catholiques.

  22. lève-toi permalink
    24 Mai 2011 22:34

    Tremousse

    Votre ignorance de l’islam est patente. Donnez-vous la peine d’étudier ces choses avant d’en parler, si vous êtes honnête, ce que j’espère, vous vous remettrez nécessairement en cause, et jamais vous ne pourrez en dire le moindre bien , au contraire. Il n’y a rien de bon dans l’islam, tout est mensonge, jetez un oeil sur le coran, après vous nous en reparlerez.

    • Silverblade permalink
      24 Mai 2011 22:38

      « Donnez-vous la peine d’étudier ces choses avant d’en parler,  »

      Excellent conseil, faite en de même pour le Metal^^.

    • 27 Mai 2011 00:58

      Ce qui est bon à faire pour l’islam l’est tout autant pour le christianisme ! Toutes les religions se valent !

  23. lève-toi permalink
    24 Mai 2011 22:41

    Silverblade

    Vous ne changerez jamais, vous improvisez tout un fatras de choses qui ne tiennent pas la route.
    Des divinités transformées en saints, votre imagination est délirante, ce qui est étrange c’est que vous n’alliez pas sur d’autres blogs plus à votre portée, car çà ne vole pas haut avec vous, que des poncifs éculés.
    L’Eglise n’a pas détruit des civilisations antérieures, vu que la première Civilisation commence au jardin de l’Eden avec Adam et Eve, et que la destruction de cette Civilisation commencera itou au même endroit par l’orgueil du péché originel.
    L’Eglise a sanctifié le monde, elle a été fondée par le Christ notre (votre) Sauveur, et par là a remis le monde sur le chemin où l’avait égaré Satan, La Civilisation était de retour, ne vous déplaise.

    • Silverblade permalink
      24 Mai 2011 22:53

      Ne vous en déplaise, avant le christianisme il y avait déjà des grande civilisation dont les momunents sont encore là pour témoigner de leurs grandeur, comme les Grecs, les Romains et les Egyptien pour ne citer que les plus connus.

    • plop permalink
      25 Mai 2011 23:05

      Voyons voir… Adam + Eve…

      1)Pas plus de quatre allèles d’un même gène. Donc pour schématiser, c’est comme s’il fallait choisir quatre couleurs de cheveux parmi : blond, brun, auburn, noir, roux, châtain… Ce nest qu’un exemple grossier bien sûr, il y en aurait de bien meilleurs, mais plus difficiles à cerner et à expliquer.

      2)Il existe manifestement des allèles défectueux (d’où les maladies génétiques). Soit Adam ou Eve en possède 1 dans sa paire du gène G. Cepndant, elle n’en souffre pas, car il est inoffensif tant qu’iol n’est pas combiné en paire. Ils ont des enfants. Ces enfants ont chacun une proportion de 1/2 des gènes de chacun de leurs parents. Soit 1/2 possède ce défaut, sans en souffrir.
      Les enfants font une troisième génération. 1/4 sera libre de cet allèle, 1/2 en possédera 1, 1/4 en possédera 2. Nous obtenons donc 1/4 de population saine, 1/2 de porteurs sains, et 1/4 de malades que nous considérerons en état de se reproduire.
      Amusez vous à calculer pour la quatrième génération, mais je peux vous assurer que cela ne va pas en s’arrangeant. La part de porteurs sains et malades ne fait qu’augmenter. Considérer que les porteurs malades ne peuvent pas se reproduire ne fait que stabiliser cela, mais n’améliore pas cet état des choses. De plus, cela fait que 1/4 de la population environ disparait à chaque génération. Je pense que si c’était le cas, nous nous en rendrions compte.

      Fait amusant : considérer qu’une partie de la population ne peut pas se reproduire revient à de la sélection naturelle (ici très sommaire car binaire). De plus, si pour expliquer la variété d’allèles existant aujourd’hui on introduit un quelconque changement de ceux préexistants, on obtient le deuxième pilier de la théorie de l’évolution, qui n’est en vérité rien d’autre que de dire que coexistent sélection naturelle d’abord, et mutations ensuite.

  24. lève-toi permalink
    24 Mai 2011 22:45

    Silverblade

    Le metal est bon à jeter à la ferraille, il n’y a pas de temps à gaspiller pour étudier un truc qui ne mérite aucune étude, le néant ne s’étudie pas.
    Essayez de monter un peu votre niveau, vous êtes lassant à la longue.

    • Silverblade permalink
      24 Mai 2011 22:58

      Preuve que vous ne connaissez pas le sujet, le Metal est un style de musique très intérêssant à étudier car des influences vont du Blues jusqu’a la musique Baroque, et la culture Metal existe depuis plus de 50ans, ce qui est rare comparer à d’autre style musicale.

      Je vous conseil le documentaire « Metal: voyage au coeur de la bête », je l’ai laisser en lien vidéo dans l’article Le Hellfest de Satan.

  25. Ziltoid permalink
    24 Mai 2011 22:59

    Adam et Eve, super une « civilisation » fondée sur l’inceste !

  26. lève-toi permalink
    25 Mai 2011 22:21

    Ziltoid

    Dieu a créé Adam célibataire au départ, puis il déclare (pour nous instruire) : « Il n’est pas bon pour l’homme de rester seul » , ce qui démontre qu’Adam n’a pas l’âme d’un célibataire, et Dieu fera naitre la première Femme , d’Adam lui-même. Eve devient son épouse tout simplement.
    Où est votre inceste ? C’est Grave docteur quand c’est dans la tête ??

    Silverblade

    J’ai envie de rire en lisant la comparaison avec la musique Baroque, il est clair que vous ne la connaissez pas pour dire de telles énormités, autant comparer la Mal-bouffe avec un Cinq étoiles.

    • Silverblade permalink
      25 Mai 2011 22:43

      Mes « énormité » sont basé sur les travaux de plusieurs musicologue qui on affirmer que la musique Metal est influencer par la musique classique. Vous pourrez le constater par vous même dans le documentaire que je vous ai conseiller plus haut.

      Et oui je connais la musique baroque car c’est une de mes musique préfèrer avec le Metal.

  27. Ziltoid permalink
    26 Mai 2011 08:29

    @ Lève toi

    Je parlais bien sûr de leur descendance, vu qu’ils sont sensés avoir peuplés le monde, enfin sauf le « reset » avec le déluge, Noé, tout ça… Donc à un moment il y a bien dû y avoir inceste, parce qu’en partant de 2 individus, la fornication entre membres de la même famille est inévitable !

    Sinon vu que Eve est sensée venir de la côte d’Adam, ça relève plutôt de la masturbation…

  28. lève-toi permalink
    26 Mai 2011 21:41

    Il y a beaucoup de musicologues, ce n’est pas ce qui manque, et bien souvent chacun d’eux pousse la chansonnette dans le sens qui lui convient, on a vu les bêtises de certains baroqueux qui à force de contorsions mentales ont dit tout et n’importe quoi, oubliant que les grands compositeurs baroques échappent à leurs analyses, tant harmoniques, mélodiques que contrapuntiques, leurs belles théories sont comme les clous car comme le dit le proverbe : Un clou chasse l’autre ».
    Le hellfest n’a rien à voir avec la Musique Baroque il suffit d’en entendre un peu et de comparer, de la mal-bouffe au cinq étoiles, il y a un abîme.

    • Silverblade permalink
      26 Mai 2011 21:54

      J’écoute et étudie cette musique depuis 7ans, les analyses des musicologues sur lesquels je me bases son nombreuses et approuver par de nombreux spécialistes du domaine.

      Allez donc voir le docu que je vous ai conseiller au lieu de parler de ce que vous ne connaissez pas.

    • Hyacinthe permalink
      27 Mai 2011 19:52

      Le coeur qui ne possède pas Dieu s’efforce de se divertir et, pour cela, emploie tout ce qui peut être vu, entendu et inventé, comme le théâtre, la musique, etc., parce qu’il est vide et triste, et ne peut en lui-même trouver de vraie satisfaction.

      Puis, après quelques années d’excitation, après avoir tout essayé, il se sent fatigué, lassé, plus vide que jamais, et il dit avec Salomon : « Tout n’est que vanité et tourment d’esprit, poursuite du vent ».

      Dieu a été négligé, et l’âme est perdue.

  29. lève-toi permalink
    26 Mai 2011 21:52

    Ziltoid

    La Bible est faite pour être lue, il est évident qu’au début il y avait consanguinité, rien à voir avec l’inceste qui est une anomalie sans but , sauf recherche folle de plaisir, et la nécessité de donner la vie comme c’était le cas à cette époque. Ce qui n’empêchera pas l’humanité de se développer, il suffit de se renseigner et de constater.
    Eve est née d’Adam, St Paul, Pharisien converti l’affirmera :  » Si l’homme nait de la femme, la femme est née de l’Homme ».
    Si nous, créatures, sommes limités, Dieu est infini en toutes ses qualités dont sa puissance, ce qui vous semble impossible dans votre logique étriquée, ne l’est pas pour Dieu.

    • Ziltoid permalink
      26 Mai 2011 22:35

      Super on descend tous de consanguins ! Si c’était vraiment le cas l’humanité ne serait jamais arrivée à plusieurs milliards d’individus ou alors la plupart serait de sérieux handicapés mentaux et moteur… Et vous me donnerez votre définition d’inceste, parce que pour qu’il y ait consanguinité, il faut bien descendance entre membres d’une même famille et donc relation incestueuse…

    • 27 Mai 2011 01:05

      Lève toi, il faut faire des études ou au mieux réfléchir ! Votre ignorance est incroyable !

      Comment peupler un territoire de milliers d’âme par la consanguinité.


      [Soyez attentif à votre langage dans le débat, en pensant à modérer vos expressions lors des échanges. Dernier avertissement. LA QUESTION].

  30. Adeline permalink
    27 Mai 2011 10:54

    Et la chapelle Sixtine alors? Pas tres catho hein?

  31. Pie permalink
    27 Mai 2011 11:44

    Ziltoid
    tremousse

    Pie XII, dit dans son encyclique Humani generis : « c’est de ce postulat [th. de l’évolution] que se servent les partisans du communisme pour faire triompher et propager leur matérialisme dialectique dans le but d’arracher des âmes toute idée de Dieu. La fiction de cette fameuse évolution, faisant rejeter tout ce qui est absolu, constant et immuable, a ouvert la voie à une philosophie nouvelle aberrante (…) ». Ainsi, le marxisme, qui est à l’origine des pires massacres et persécutions, s’appuie sur Darwin, preuve en est cette lettre que Marx écrivait à F. Lassalle le 16 Janvier 1861 : « le livre de Darwin est très important et il me sert de fondement en sciences naturelles pour l’histoire de la lutte des classes ».

    Darwin n’explique pas comment est apparue la première entité vivante capable de se reproduire.

    Certains évolutionnistes croient pouvoir expliquer l’origine de la vie à partir de l’expérience de Stanley Miller, la matière évoluerait naturellement vers la vie. Mais peu d’évolutionnistes s’aventurent sur ce terrain. Il semble évident que la matière ne peut s’organiser toute seule en un organisme vivant auto-reproductible. Le nombre minimum de mécanismes permettant la vie et la reproduction est si grand qu’une création immanente suppose une intelligence dans la matière elle-même (autant dire Dieu). La théorie de la complexité irréductible (irreducible complexity) affirme qu’il est impossible de créer des mécanismes complexes par une évolution graduelle.

    Darwin a suggéré que le hasard crée de légères variations dans les espèces. Ces variations sont essentiellement nuisibles à l’espèce mais certaines l’améliore, et par voie de suprématie se transmettent à la descendance.

    Cette hypothèse n’est plus défendable aujourd’hui. Le bio-chimiste Michael Denton a été un des premiers à le montrer. Même l’évolutionniste paléo-anthropologue français Yves Coppens cherche une autre explication.

    Pour échapper à l’absurdité de l’apparition spontanée de la vie sur terre, certains imaginent une apparition sur une autre planète puis le transport de cette vie sur la notre, c’est la panspermie.

    Ils ne résolvent pas le problème, ils le déplacent. Et même il s’enferrent. Ils imaginent une planète plus favorable à l’apparition de la vie, alors que la terre est si exceptionnellement favorable à la vie que certains la croient vivante. Ils imaginent des cellules vivantes voyageant toutes seules sur des comètes et résistant au vide et au froid intersidéral, puis à la brûlure de l’entrée atmosphérique… D’autres voient des extra-terrestres apporter la vie sur terre… N’est-ce pas une fuite en avant ?

    http://semperfidelis.over-blog.fr/article-le-mythe-de-la-theorie-de-l-evolution-des-especes-74743872.html

    • plop permalink
      27 Mai 2011 12:03

      Amusant comme les cathos tradis fonctionnent en vase fermé : toutes les sources sont elles même tradis… Ca ne m’étonnerait guère qu’on puisse trouver quelques belles boucles dans tout ce fatras…

    • Sulpice permalink
      27 Mai 2011 20:09

      Oui, d’où vient l’homme ?

      Il y a eu sans doute un premier homme et une première femme : qui les a formés ?

      Admettre l’inconsistante théorie de l’évolution donne pour ancêtre éloigné de l’homme un simple mollusque, une cellule ?

      En supposant même vraie une semblable théorie, il faut toujours remonter à la cause suprême qui préside à l’évolution : qui a formé la première cellule ?

      Mais quel esprit droit et sensé acceptera jamais qu’une accumulation de molécules, disposées d’une certaine façon, produise la pensée ? Ou que celle-ci provienne d’une agglomération d’éléments venant on ne sait d’où, et qui, sous l’effet de forces inconnues, se sont peu à peu transformés en organes et finalement ont formé l’homme ?

      Non ; un Dieu tout-puissant et intelligent a fait l’homme à son image, et de là vient l’idée de Dieu imprimée en lui et prouvant l’existence de cet Être suprême.

    • plop permalink
      28 Mai 2011 10:11

      L’évolution ne concerne que la vie une fois qu’elle s’est formée. Si vous souhaitez en savoir davantage sur la réponse que donne la science à la formation de la vie, renseignez vous non pas sur l’évolution des espèces, mais sur la théorie de l’abiogenèse.

      A ce propos, il existe en anglais sur youtube les excellentes vidéos de cdk007, traduites en français par Bergalion :
      http://www.youtube.com/watch?v=xO7MypWw_VM (VF)

      Et, en bonus : http://www.youtube.com/watch?v=nN95ExZWsWs&feature=channel_video_title

      Parce-que cela est aussi vraisemblable que l’hypothèse Dieu.

    • wendrock permalink
      28 Mai 2011 12:39

      C’est précisément l’évolution qui démontre que l’athéisme, aujourd’hui, et compte tenu de ce que nous savons de l’histoire de l’Univers, est absolument impensable.

      On peut bien entendu continuer à l’enseigner, dans les universités, dans les lycées et même dans les écoles, mais on ne peut plus le penser, si toutefois on appelle penser : intégrer dans l’unité d’une synthèse qui n’implique pas de contradictions, l’ensemble des informations que nous recevons de l’Univers et de la nature par les sciences expérimentales.

      Au fond, l’athéisme sera de plus en plus une philosophie pour les littéraires, pour ceux qui ignorent quelle a été l’histoire, l’aventure réelle de l’Univers, de la matière, de la vie et de l’Homme.

      Et cette aventure ne s’explique pas sans un projet et la présence d’une dimension extérieure à la matière elle-même que la religion nomme Dieu.

  32. Ziltoid permalink
    27 Mai 2011 17:41

    Ah le raisonnement circulaire, on peut tout justifier avec ça…

    Sinon pour Pie, je ne parlais même pas d’évolution ou de Darwin, mais simplement j’aimerai que l’on m’explique comment en partant de 2 individus ils ont pu se reproduire et peuplé la planète sans relation incestueuse (vu que c’est bien un des pires péchés non ?) à un moment où un autre… Et le même problème se représente avec Noé, et même tous les animaux de la Terre !

  33. apostolatus specula permalink
    27 Mai 2011 20:02

    Attention avec la question du sens de la Bible, et en particulier l’histoire de la Création.

    L’Ecriture n’est pas un livre de science, ce n’est pas là son rôle.

    Dans sa lettre Encyclique Divino Afflante Spiritu promulguée le 30 septembre 1943, en la fête de saint Jérôme, Pie XII a expliqué, contrairement à ce que certains soutiennent faussement et avec un soin tout spécial, la nécessité d’une approche spirituelle du sens de l’Ecriture.

    Le Saint Père écrit :

    « Ils doivent mettre [les exégètes] le plus grand soin à découvrir ce sens littéral des mots [celui qu’il a dans les langues d’origine] au moyen de la connaissance des langues, en s’aidant du contexte et de la comparaison avec les passages analogues ; toutes opérations qu’on a coutume de faire aussi dans l’interprétation des livres profanes, pour faire ressortir plus clairement la pensée de l’auteur. » [§ 27]

    Comme nous le voyons, nulle position chez Pie XII, visant à considérer que le sens littéral correspondrait à une interprétation littéraliste.

    Dans sa sagesse le saint Père indique donc :

    « Qu’ils s’appliquent [les exégètes] d’une manière toute particulière à ne pas se contenter d’exposer ce qui regarde l’histoire, l’archéologie, la philologie et les autres sciences auxiliaires – comme Nous regrettons qu’on ait fait dans certains commentaires ; – mais, tout en alléguant à propos ces informations, pour autant qu’elles peuvent aider à l’exégèse, qu’ils exposent surtout quelle est la doctrine théologique de chacun des livres ou des textes en matière de foi et de moeurs, de sorte que leurs explications … soient utiles à tous les fidèles pour mener une vie sainte, digne d’un chrétien. » [§ 28]

    Entendons-nous correctement ce que demande Pie XII ?

    Que les exégètes « exposent surtout quelle est la doctrine théologique de chacun des livres ou des textes ».

    On est bien loin d’un désir d’en rester au sens premier du texte, à son littéralisme, mais d’aller, de se diriger, vers la découverte de la « doctrine théologique ».

    (Cf. Zacharias, L’interprétation spirituelle de l’Ecriture ou la distinction entre sens littéral et le «littéralisme » afin d’éviter une interprétation charnelle du texte sacré).

  34. Pie permalink
    27 Mai 2011 20:18

    «Et Dieu dit : Faisons les hommes à Notre image, selon Notre ressemblance, et qu’ils dominent sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout animal rampant qui rampe sur la terre. Et Dieu créa l’Homme à Son image ; Il le créa à l’image de Dieu ; Il les créa mâle et femelle» (Genèse 1:26-27).

    Que peut dire la science sur des sujets si intéressants et moralement si importants ? Est-ce logique de nier tout ce qu’on ignore ?

    Pour la science, confesser son ignorance est humiliant. Mais y a-t-il de la révérence à mépriser ce que Dieu sait et a révélé ? Hélas ! La science ne sait rien, ni sur la foi, ni sur la piété, ni sur la révérence. Si elle se contentait de n’affirmer que ce qu’elle sait, et si elle confessait son ignorance sur ce qui dépasse ses limites, elle ferait moins de bêtises

    De toutes les rêveries, il n’y en a pas de plus vile que l’ignorance refusant d’apprendre, et osant défier la révélation divine par sa conception de l’homme descendant du singe, d’un poisson, d’algues ou autres.

    La vérité est que les causes primordiales sont au-delà de la science qui, au lieu de reconnaître honnêtement son ignorance, prétend nier la création que l’Écriture révèle clairement. Dieu seul pouvait créer, et Il déclare qu’Il l’a fait, et selon quel ordre. La science pourrait apprendre avec bonheur, si son scepticisme ne l’emportait pas.

    Son champ d’application est dans l’investigation des effets, et elle ne peut atteindre les causes primordiales, alors qu’il est de la plus haute importance de les connaître ; seul le témoignage de Dieu nous y donne accès, et c’est tout simple si on l’accepte.

  35. de la Panouse Vivien permalink
    27 Mai 2011 21:10

    « ‘Attention avec la question du sens de la Bible, et en particulier l’histoire de la Création.

    L’Ecriture n’est pas un livre de science, ce n’est pas là son rôle.  »

    Exact !

    « Pour la science, confesser son ignorance est humiliant. » *

    J’ai lu, au contraire : « Le savant digne de ce nom SE DOIT DE RESTER HUMBLE DEVANT L’IMMENSITE DES CHAMPS INEXPLORES DE LA CONNAISSANCE ». Mais lorsque une certitude a été acquise sur quelque chose, il est humiliant de devoir la remettre en cause.Officiellement, c’est le cas pour la théorie de l’évolution.

    • plop permalink
      27 Mai 2011 21:30

      L’évolution ?
      Croyez-moi, s’il existait UN SEUL élément la réfutant, nombreux seraient les candidats à la révéler : cela leur vaudrait le prix Nobel.

      La totalité des « arguments » allant contre ne sont en rien scientifiques, ils ne sont que des aveux d’ignorance, et pas des faits, seuls à même de détruire une théorie qui elle, est étayée par des milliers de faits.

    • plop permalink
      27 Mai 2011 21:45

      A ce propos : l’univers ne vit pas. De plus, l’article refuse de comprendre que les athées se contentent de dire qu’ils ne savent pas (s’ils sont intelligents), ce qui est moins orgueilleux que d’affirmer de façon péremptoire et sans aucune preuve qu’un quelconque Dieu l’a fait.
      De plus, l’univers peut très bien être éternel : si les lois de la thermodynamique indiquent qu’il est impossible que ce soit sous la forme que nous connaissons actuellement.
      En effet, il existe un temps, 10e-43 secondes après le Big Bang (43 zéros suivis d’un 1), avant lequel on ne sait RIEN car les loizs physiques que nous connaissons ne s’y appliquent plus. Cependant, tous les embryons de théorie isant à percer cette barrière prédisent qu’il y a quelque chose avant cela. Pa rexemple, des branes (espaces-temps au nombre de dimensions réduit) flottant dans un espace-temps plus vaste. Ce n’est qu’un exemple, provenant de la plus prometteuse de ces hypothèses à l’heure actuelle, la théorie des cordes.

      Si l’univers a existe depuis un temps infiniment long, sous d’autres formes (peut-être), il devient absurde de parler du « moment » où il a commencé, car il n’existe tout simplement pas.

      De plus, quand bien même vous refuseriez mes explications, je vois une bonne raison de préférer celle que vous qualifiez d’absurde à) celle que vous avez choisie : l’hypothèse la plus simple est toujours la meilleure. Dans le premier cas, pas de Dieu, dans le second, si. On élimine celle qui comporte le plus d’éléments (Dieu éternel, donc si on suit voter logique et non la mienn e auto-généré, créant lui-même l’univers) au profit de la plus simple (univers auto-généré). Il est donc raisonnable de croire que Dieu n’existe pas.

      D’ailleurs, à propos de cet article, j’y avais mis une réponse point par point qui a mystérieusement disparu. Ce n’est guère grave, car j’en garde un exemplaire sur mon disque dur. Un de ces jours peut-être…

  36. lève-toi permalink
    27 Mai 2011 22:08

    La théorie très fumeuse et fumiste de l’évolution a été démantibulée par de nombreux scientifiques.
    Mais il n’ y a pas moyen de faire boire un âne qui n’a pas soif, à savoir qu’il est impossible de discuter avec des gens englués dans un vain orgueil, incapables du moindre effort de recherche et d’esprit critique.
    Jean Rostand fut un grand biologiste, un jour un homme lui demanda d’expliquer l’Homme, Rostand lui répondit :  » Toute ma vie j’ai étudié le crapaud, et je suis incapable d’expliquer le crapaud ». D’agnostique, il mourut croyant. Il savait se servir de la tête que Dieu lui avait donnée.

    • plop permalink
      28 Mai 2011 10:32

      Ce sont des argument d’autorité. La plupart des scientifiques restent convaincus de la théorie de l’évolution. Gouls, pour n’en citer qu’un en est un spécialiste aujourd’hui encore reconnu. Son oeuvre ? La théorie des équilibres ponctués. L’un des principaux éléments de la théorie de l’évolution moderne. Qui a bien changé depuis Darwin. Au temps pour le refus de se remetttre en question. Et oui, moi aussi je suis en mesure de montrer des arguments d’autorité. Preuve s’il en est qu’un argument d’autorité ne montre rien.

      En revanche, je suis capable d’apporter un petit quelque chose :
      une vidéo pour montrer que l’évolution EST une horloger aveugle (en anglais, je n’ai trouvé aucune traduction) :

  37. wendrock permalink
    28 Mai 2011 12:29

    plop

    De tout ce que les sciences expérimentales ont découvert depuis un siècle et plus, il apparaît en effet que l’Univers est un système évolutif, historique, génétique, mais un Univers dans lequel l’information augmente d’une manière continue et irréversible, depuis les débuts jusqu’aujourd’hui.

    Et c’est ce qui vient contredire l’idée d’un « horloger aveugle », incompatible avec un Univers en évolution.

    Pourquoi ?

    Tout simplement prece qu’il est tout à fait évident que l’Univers, à un moment donné quelconque de son histoire, ne peut pas se donner à lui-même une information nouvelle qu’il ne possédait pas, précisément parce qu’il ne la possédait pas.

    Il faut donc bien reconnaître objectivement que l’Univers est un système historique, évolutif, génétique, qui reçoit constamment, au cours du temps, de l’information, de l’information créatrice, qui constitue des systèmes physiques et biologiques nouveaux.

    Résumons :

    – L’athéisme est une philosophie qui assure que l’Univers est seul.

    – S’il est seuln il ne peut donc pas recevoir d’information nouvelle.

    – S’il ewst seul il ne peut pas non plus se la donner, puisqu’il ne l’a pas.

    Ainsi, selon la théorie matérialiste athée, l’Univers l devrait rester stagnant, fixé à ses formes initiales.

    Or de fait il évolue et il s’enrichit. C’est donc que l’athéisme est une philosophie fausse.

    • plop permalink
      28 Mai 2011 14:47

      Il ne s’enrichit pas. Il change : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme ». Toute information peut-être résumée à énergie ou matière. L’univers en contient en abondance. L’agencement le plus chaotique qui soit EST une information, complexe qui plus est. Mathémathiquement parlant j’entends. Q’un agencement complexe puisse se trtansformer en un autre arrangement complexe, est-ce hors de votre portée ?

      Je constate avec plaisir que la vidéo que je proposais napparît pas. La voici donc : http://www.youtube.com/watch?v=mcAq9bmCeR0

    • wendrock permalink
      4 juin 2011 11:53

      plop

      Rien de plus absurde que cette sentence qui est un sommet du sophisme : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », car l’observation scientifique montre au contraire que
      l’évolution biologique ne se comprend que par l’apparition ou la création de nouveaux gènes.

      Si le phénotype se complexifie c’est que le génotype s’enrichit en information.

      Comment comprendre cet enrichissement en information au cours du temps, enrichissement continu et même accéléré ?

      Voilà pourquoi, le problème fondamental de l’évolution biologique, ramené à sa formule la plus simple, c’est : quelle est l’origine de l’information génétique nouvelle qui apparaît constamment au cours de l’histoire naturelle des espèces vivantes ?

      Le problème ainsi posé n’est pas essentiellement différent de celui que pose l’apparition de la vie sur la Terre, c’est-à-dire la genèse des tout premiers messages génétiques. Dans tous les cas, il s’agit de comprendre une nouveauté, une invention, une création inédite, au début celle des premiers messages génétiques qui commandent à la construction des micro-organismes monocellulaires dépourvus d’organes; puis l’invention de nouveaux messages génétiques, de nouveaux plans de construction, qui président à la formation d’organes nouveaux qui n’avaient jamais existé dans la nature, de systèmes biologiques nouveaux, inédits, d’espèces nouvelles.

      Comment comprendre le commencement, l’existence d’une nouvelle information, qui n’existait pas auparavant ? Le plan de construction de tel système biologique, de tel groupe zoologique, qui n’existait pas auparavant? Telle est la question.

      Vous le voyez donc, l’évolution qui montre l’absurdité de la thèse que rien de nouveau se crée dont la paternité contemporaine revient à Lavoisier qui déclarait avec son matérialisme absurde : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau », en ignorant tout de la science des lois de l’évolution, pose de nombreuses questions qui semblent en effet, « hors de portée » de la science archaïque de l’antiquité au XIXe siècle dans laquelle vous puisez vos références matérialistes.

  38. lève-toi permalink
    28 Mai 2011 23:20

    Silverblade

    J’ai étudié la musique depuis de nombreuses années, et je connais la Musique baroque que j’aime par dessus toutes les musiques, or je maintiens que les musicologues ne sont pas toujours crédibles, je ne citerai qu’un exemple, un de ces « spécialistes » disait que Bach, à un moment de sa vie où il ne disposait pas d’orgue, composait au cembalo, ce qui est une stupidité et une erreur majeure pour un « professionnel » , car Bach n’avait nul besoin d’un instrument pour écrire sa musique, au contraire il refusait comme élèves ceux qui ne pouvaient « composer » qu’avec un instrument, il les nommait les « Cavaliers du Harpsichord » par ironie, pour lui un vrai compositeur doit écrire directement s’il a du génie, ce qu’il faisait parfaitement lui-même, il suffit de lire les partitions autobiographiques pour s’en rendre compte, il écrivait si vite que sur les partitions manuscrites de parfois plus de dix portées, il ne prenait pas le temps de les placer parfaitement l’une au-dessus des autres tellement il écrivait vite (loin du cembalo du « spécialistes).
    Un autre « spécialiste » soutenait que Bach écrivait les morceaux qui lui « naissaient sous les doigts », comme idiotie de première on ne fait pas mieux, car il est impossible d’écrire des contrepoints aussi riches en se servant de ses doigts, il y faut la Tête et uniquement la Tête, de même ses harmonies sont uniques dans toute la Musique par leurs richesses inégalées.
    OK, je n’y connais rien si çà vous fait plaisir, j’ai écouté un jour du « helfest » pour voir ( mieux pour entendre), un comique osait comparer çà avec du baroque, le pauvre ne devait pas avoir beaucoup d’oreille.

    • Silverblade permalink
      29 Mai 2011 14:18

      Vous vous y connaissez peut être en musique Baroque mais pour le Metal vous avez encore du chemin à faire.

      Le Metal c’est une musique beaucoup plus complexe et varier qu’il n’y parait (Plus de 30 styles différents, sans compter les sous-genre).

      Ecoutez attentivement les solos de guitare de Van Halen par exemple et vous entendrez l’influence de la musique classique.

      Pour mieux se rendre compte il faut comparer avec les premier groupe de heavy Metal.

  39. lève-toi permalink
    29 Mai 2011 22:43

    J’ai fait l’effort d’écouter du Metal, sans regarder au nom des musiciens, je n’y ai trouvé que basse prétention à faire croire que c’était de la musique, rien de génial, au contraire, du médiocre. Il est nécessaire de faire l’inverse, à savoir quitter ce genre de chose, et monter vers les cimes du Baroque, on ne peut pas aimer une chose et son contraire, la Beauté et son singe.

  40. Silverblade permalink
    29 Mai 2011 22:55

    « J’ai fait l’effort d’écouter du Metal, sans regarder au nom des musiciens »

    C’est sur que si vous faite mal vos recherche vous n’aurez que de mauvais résultat.
    Ecoutez des groupes comme Van Halen et Black Sabbath, ou si vous avez la flemme de le faire allez directement voir le docu que je vous ai conseiller plus haut.

    Vous seriez surpris de voir la richesse et la variéter de la musique Metal, à votre avis comment se fait-il que les meilleurs guitaristes viennent pour la plupart du Metal?

    « Il est nécessaire de faire l’inverse, à savoir quitter ce genre de chose, et monter vers les cimes du Baroque, on ne peut pas aimer une chose et son contraire, la Beauté et son singe. »

    Eh bien si c’est possible j’ai beaucoups d’amis métalleux et moi même qui à côté du Metal apprécions la musique classique, le jazz, la musique celtique et autre.

  41. 4 juin 2011 13:31

    @ PIE sur Heidegger : Je ne suis pas du tout un inconditionnel de Heidegger, loin s’en faut — j’essayais juste de préciser le sens de la phrase incriminée. Il se trouve tout de même que, si l’on écarte le déchet (pour moi, en gros, pratiquement tout après 1940), c’est tout de même un penseur de très haute volée et, honnêtement, il faudrait être aveugle pour lui comparer Gilson. La différence, d’un autre point de vue, c’est que Gilson est probablement au Ciel, et Heidegger probablement pas — mais ce n’est pas un critère de la valeur d’un philosophe. J’ai lu plusieurs des livres de Gilson et honnêtement, pour moi, c’est d’un ennui assez profond. C’est scolaire, disons : utile à un étudiant qui aborde juste la philosophie médiévale. Même son livre sur Le Thomisme me laisse un souvenir plutôt terne.

    Pour le « pseudo-Duns Scot », ce n’est évidemment pas l’homme qui est pseudo : ce sont les médiévistes qui disent que le traité choisi par Heidegger pour son étude (l’équivalent de l’ancienne thèse de « doctorat d’université », je crois ?) n’est attribué à Duns Scot… que par erreur ! C’est le fameux Traité des catégories et de la signification qui est pseudo (inauthentique), pas son auteur présumé.

  42. Arthan permalink
    8 juin 2011 13:38

    Et moi, j’affirme qu’il est parfaitement illogique pour un Dieu omniscient et omnipotent de créer un être avec des défauts pour ensuite le punir des défauts qu’il a lui-même créé. Les mythologies polythéistes grecques, romaines et scandinaves avaient au moins le mérite de montrer des dieux faillibles et par essence incapables de perfection.

  43. gerdil permalink
    8 juin 2011 13:48

    Arthan

    Attention à ne pas renverser les choses. Dieu a créé l’homme à l’origine dans un état de perfection totale lui accordant une entière liberté, même et y compris pour aller dans un sens contraire à ses intérêts., Et c’est en usant de sa liberté que l’homme, écoutant les illusions du diable et son terrible orgueil, qu’il s’est mis en rupture avec les lois divines et a donc reçu, en châtiment de son péché, les fruits corrompus que nous subissons, que sont la mort, la maladie, la limite de l’intelligence, etc.

    Dieu n’a pas crée le mal, il a crée les hommes, avec un libre arbitre, et l’être humain a le choix de faire le mal ou le bien, mais c’est tellement facile de faire le mal, et de mettre Dieu en accusation, ou la société, Avoir un comportement bénéfique est difficile mais pas insurmontable, c’est ce que propose l’Evangile.

  44. gerdil permalink
    8 juin 2011 13:50

    En complément une histoire authentique sur le sujet : « Le mal existe-t-il ? »

    Un professeur universitaire défia ses étudiants avec cette question : « Est-ce que Dieu a créé tout ce qui existe ? ».

    Un étudiant répondit bravement : – Oui, Il l’a fait !

    Le professeur dit : « Dieu a tout créé ? »
    – Oui, Monsieur, répliqua l’étudiant.

    Le professeur répondit, « Si Dieu a tout créé, Il a donc aussi créé le mal puisque le mal existe et selon le principe de nos travaux qui définissent ce que nous sommes, alors Dieu est mauvais ».

    L’étudiant fut silencieux devant une telle réponse. Le professeur était tout à fait heureux de lui-même et il se vantait devant les étudiants d’avoir su prouver encore une fois que la foi en un dieu était un mythe.

    Un autre étudiant leva sa main et dit : « Puis-je vous poser une question professeur ? »
    – Bien sûr, répondit le professeur.

    L’étudiant répliqua, « Professeur, le froid existe-t-il ? »
    – Quel genre de question est-ce cela ? Bien sûr qu’il existe. Vous n’avez jamais eu froid ? dit le professeur.

    Le jeune homme dit, « En fait monsieur, le froid n’existe pas. Selon la loi de physique, ce que nous considérons être le froid est en réalité l’absence de chaleur. Tout individu ou tout objet possède ou transmet de l’énergie. La chaleur est produite par un corps ou par une matière qui transmet de l’énergie. Le zéro Absolu (-460°F) est l’absence totale de chaleur; toute la matière devient inerte et incapable de réagir à cette température. Le Froid n’existe pas. Nous avons créé ce mot pour décrire ce que nous ressentons si nous n’avons aucune chaleur. »

    L’étudiant continua. « Professeur, l’obscurité existe-t-elle ? »
    Le professeur répondit : – Bien sûr qu’elle existe !

    L’étudiant : « Vous avez encore tort Monsieur, l’obscurité n’existe pas non plus. L’obscurité est en réalité l’absence de lumière. Nous pouvons étudier la lumière, mais pas l’obscurité. En fait, nous pouvons utiliser le prisme de Newton pour fragmenter la lumière blanche en plusieurs couleurs et étudier les diverses longueurs d’onde de chaque couleur. Vous ne pouvez pas mesurer l’obscurité. Un simple rayon de lumière peut faire irruption dans un monde d’obscurité et l’illuminer. Comment pouvez-vous savoir l’espace qu’occupe l’obscurité ? Vous mesurez la quantité de lumière présente. N’est-ce pas vrai ? L’obscurité est un terme utilisé par l’homme pour décrire ce qui arrive quand il n’y a pas de lumière. »

    Finalement, le jeune homme demanda au professeur, « Monsieur, le mal existe-t-il ? »
    Maintenant incertain, le professeur répondit : – Bien sûr, comme je l’ai déjà dit. Nous le voyons chaque jour. C’est dans les exemples quotidiens de l’inhumanité de l’homme envers l’homme. C’est dans la multitude des crimes et des violences partout dans le monde. Ces manifestations ne sont rien d’autre que du mal !

    L’étudiant répondit, « le Mal n’existe pas Monsieur, ou au moins il n’existe pas de lui-même. Le Mal est simplement l’absence de Dieu. Il est comme l’obscurité et le froid, un mot que l’homme a créé pour décrire l’absence de Dieu. Dieu n’a pas créé le mal. Le Mal n’est pas comme la foi, ou l’amour qui existe tout comme la lumière et la chaleur. Le Mal est le résultat de ce qui arrive quand l’homme n’a pas l’amour de Dieu dans son coeur. Il est comme le froid qui vient quand il n’y a aucune chaleur ou l’obscurité qui vient quand il n’y a aucune lumière. »

    Le professeur s’assis, abasourdit d’une telle réponse. Le nom du jeune étudiant ? Albert Einstein.

    • Arthan permalink
      8 juin 2011 15:42

      Je connais bien cette histoire. Mais n’est-ce pas le même Albert Einstein qui plus tard déclara qu’il ne connaissait que deux infinis, l’univers et la bêtise humaine?

      Ce que je veux dire, c’est que, selon la Genèse, au début, il n’y avait rien. Donc, c’est Dieu qui a tout créé. S’il crée l’Homme avec un libre arbitre, il le crée avec la possibilité de choisir le bien ou le mal. Le mal qu’il a du créer aussi, non?

      Et quand bien même, pourquoi dès lors punir les hommes qui choisissent le mal? S’il ne voulait pas du mal sur Terre, la solution logique aurait été de faire en sorte qu’il n’existe pas, non?

  45. gerdil permalink
    8 juin 2011 16:18

    Vous dites bien , Dieu créé la possibilité…par amour de la liberté, mais il laisse également la possibilité du choix du bien, le mal est une conséquence de ce refus, une conséquence de ne pas choisir le bien, par un fait déjà établi. Dieu n’est pas responsable de la situation actuelle, et il est vrai il punit, plus exactement il retranche de lui ce qui a voulu se couper de la vérité par révolte. Dieu qui est tout-puissant pourrait mettre fin au scandale, mais il permet par « économie » c’est-à-dire en imaginant une repentance salvatrice car il souhaite un amour libre, et non pas contraint. Un amour de servitude.

    La preuve de Dieu ne consiste pas à dire : Dieu existe parce que le monde est parfait, ça c’est de la littérature pour roman de la bibliothèque rose. Il faut dire Dieu, qui est amour, a rendu tout possible, jusqu’à ce que sa créature (en premier celui qui était le plus beau des anges : Satan) le refuse, se détourne de son créateur et choisisse la haine.

    Toute la Bible raconte l’histoire d’un Dieu qui s’offre à sa créature et qui n’a qu’un désir être préféré par elle aux autres réalités crées. Le respect de Dieu pour la liberté de sa créature nous apparaît ainsi comme infini : c’est le respect de l’Etre infini pour la personne créée. Un monde avec le mal peut être meilleur au total qu’un monde sans le mal, parce qu’ il peut susciter des fidélités, des repentirs, des amours qu’ignorerait éternellement un monde qui ne serait pas balayé par les grandes tempêtes. Et c’est ce qui forme l’Histoire…une histoire entre l’homme et Dieu qui est aussi une Histoire Sainte.

    Dieu a donc volontairement choisi de créer un monde doté de la liberté de le rejeter parce que cette liberté implique également la possibilité donnée à une créature le pouvoir de se déclarer librement pour lui, de l’aimer par préférence à d’autres biens apparents. Et cet amour lorsqu’il survient est sans prix.

    • Silverblade permalink
      8 juin 2011 23:57

      Pour d’une fois je suis daccord avec Gerdil.

      En effet l’amour n’est pas quelque chose de forcée, ça doit rester avec le consentement mutuelle, et c’est pareil pour les humains et les dieux.

      De même pour l’histoire du mal, le bien ne peut exister sans le mal et inversement.

      Sinon je trouve que les dieux des mythologies avec leurs qualités et défauts son plus à l’image des Hommes que le Dieu des chrétien qui lui est vraiment parfait, ce qui est loin d’être le cas des humains.

      Mais ceci n’est que mon avis personnel.

      Et pour finir une question:

      Pourquoi Dieu at-il crée l’homme?

  46. lève-toi permalink
    8 juin 2011 23:25

    Arthan

    Il est clair que le raisonnement de ce professeur est Gnostique, et même Manichéen.
    La Gnose polymorphe et protéiforme a été abondamment réfutée par des auteurs doués d’un vrai esprit critique, ce qui manque totalement à ce Herr professor.
    Si vous êtes capables de lire avec un peu de compétence les ouvrages d’auteurs ennemis à bon escient de la Gnose, vous aurez de quoi vous refaire une santé intellectuelle, en vous libérant de tous les poncifs pseudo-intellos dont le but réel et unique et de pervertir la Vérité, et par là, entrainer les âmes à leur perte.
    Lisez Etienne Couvert, Alain Pascal, jean Vaquié et d’autres dont les noms ne me reviennent pas sur le moment ( peu importe d’ailleurs). Sortez de la prison du diable Menteur et Homicide qui ne veut que votre damnation.

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