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Le noachisme talmudique contre la Tradition chrétienne

10 février 2019

St. Michel Archange
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Dès l’origine il y a non pas une Tradition, mais deux « traditions »,

ce qui signifie deux « religions », 

l’une naturelle, caïniste et babélienne,

 l’autre surnaturelle plaçant ses espérances en Dieu

et sa Divine Providence.

L’idée, d’une religion universelle et d’un Ordre Mondial s’imposant à tous les peuples de la planète, n’est pas nouvelle, elle date de la « Tour de Babel », et ses sources primitives se trouvent, tout simplement, dans la tradition de Caïn qui est à l’origine de la tradition rejetée, mensongère et criminelle, que sa descendance perpétue depuis l’aube des temps, s’opposant à la « Tradition d’Abel le Juste », qui est celle, sainte et bénie de Dieu, qui s’étend, depuis les Patriarches jusqu’au Christ, et du Christ à l’Eglise et au peuple des baptisés.

Le problème, c’est que les deux traditions portent le même nom (tradition), mais n’ont pas du tout le même contenu. Il faut donc impérativement, pour dénouer cette difficulté, discerner entre les deux traditions, laquelle contient véritablement la « Tradition primitive » et laquelle est un rameau dévié.

I. Division en deux formes distinctes de la Tradition

La Tradition première, qui donc contenait oralement toute la Révélation, a été l’objet de très graves altérations. Il s’y est mêlé des traditions profanes, non révélées qui par conséquent ont fini par envahir, étouffer et effacer toute trace de vraie Tradition, c’est-à-dire de la Révélation divine. D’ailleurs l’Histoire de la « Religion » sur la terre, jusqu’à Abraham, n’est autre chose que celle des altérations successives de la Tradition primitive.

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L’Histoire de la « Religion » sur la terre, jusqu’à Abraham,

n’est autre chose que celle des altérations successives

de la Tradition primitive.

Ceci explique pourquoi s’il est au monde, aujourd’hui, une religion capable précisément de parler de la Tradition et d’en présenter le contenu, c’est le christianisme. Il n’y en a pas d’autres. Quand René Guénon (1886-1951) affirme : «Le christianisme a oublié la Tradition, c’est l’Inde qui l’a conservée», il se trompe [2]. C’est exactement le contraire, en réalité. Toutes les religions païennes (et pas seulement l’hindouisme), ont quitté la ligne droite des jalons traditionnels avant Abraham et avant l’Écriture. Elles ne possèdent donc, de la Tradition, que la version babélienne dont, justement, Dieu n’a pas voulu.

Dès l’origine il y a de ce fait, non pas une Tradition, mais deux « traditions », deux cultes, ce qui signifie deux religions, l’une naturelle, caïniste et babélienne, reposant uniquement sur l’homme, l’autre surnaturelle plaçant toutes ses espérances en Dieu seul et en sa Divine Providence. La suite des événements n’aura de cesse de confirmer ce constant antagonisme, cette rivalité et séparation entre deux « voies » dissemblables que tout va en permanence opposer, les rendant rigoureusement étrangères et inconciliables. Il n’est d’ailleurs pas indifférent de relever l’analyse pertinente de saint Augustin (324-385) au sujet de ces « deux postérités » engendrant deux traditions et donc deux « Cités » absolument irréconciliables et antagonistes, deux « Cités » que tout oppose et sépare, fondées sur des principes radicalement divergents, travaillant à des objectifs totalement contraires, poursuivant des buts à tous égards dissemblables [3].

II. La tradition mensongère

On comprend mieux pourquoi, du fait qu’ils appartiennent à la tradition déviée et pervertie qui a la haine de Dieu et de ses lois, les ennemis de l’Eglise attaquent toutes les institutions, matérielles et spirituelles : dogme, hiérarchie, sacrements, implantation territoriale, tout ce qui incarne la réalité de la présence de la société spirituelle fondée par Jésus-Christ, société qui est en horreur à Satan et à ceux qui lui sont, consciemment ou inconsciemment, soumis. La Tradition que protège l’Eglise est, comme il est aisé de le concevoir, l’objet d’attaques particulières animées par une féroce hostilité.

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L’Eglise est gardienne d’une Tradition

antagoniste de celle de Babel.

C’est même un des traits particuliers de l’Eglise,

que d’avoir été maintenue séparée

de la souche des fausses religions païennes.

Redisons avec force, que la Tradition des Apôtres forme, avec celle des Patriarches, un ensemble homogène qui constitue précisément cette vraie « Tradition » dont l’Eglise est la détentrice. Mais parallèlement à ce courant orthodoxe, il s’est créé un autre courant que l’on devrait appeler « pseudo-traditionnel » et qui en diffère, évidemment, dans son contenu et dans son mode de constitution. Le contenu de la « pseudo-tradition » n’est pas homogène ; il est composite. Il est fait de trois constituants, mêlés plus ou moins intimement. On y trouve des vestiges déformés de la Révélation Divine, comme par exemple les conceptions panthéistes et païennes. On y trouve des élucubrations humanitaires comme celles de la Tour de Babel. Et l’on y trouve des produits de la fausse mystique, c’est-à-dire de la mystique démoniaque qui est la source de la mythologie polythéiste.

Bref, cette pseudo-tradition véhicule, mêlées ensemble, toutes les productions de la religiosité naturelle. Quant à son mode de constitution, on peut dire que la pseudo-tradition est dans son droit quand elle prétend à la même ancienneté que la Vraie. Elles ont toutes les deux le même point de départ qui est le jugement de Dieu sur les sacrifices d’Abel et de Caïn. La pseudo-tradition est aujourd’hui défendue, sous le nom de « tradition », par des penseurs qui en font la source commune  fondée pour les religions non-chrétiennes.

III. La pensée perverse du Talmud

Dès que l’Eglise parvint à se développer, édifiant les nations chrétiennes en les fondant sur les principes de l’Evangile et les vérités révélées par le Christ, les héritiers de la pseudo-tradition travaillèrent, notamment ceux qui rejetèrent Jésus-Christ en imposant aux autorités romaines de le crucifier, à  remplacer la loi du christianisme par une autre forme de spiritualité appelée le « noachisme », c’est-à-dire une religion universelle, écartant le Christ, pour faire de la « loi de Noé » la référence commune à tous les peuples, un loi de substitution à la loi chrétienne, capable de mettre en œuvre et diriger une politique universelle étendant son règne sur l’ensemble des nations de la terre.

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Les talmudistes voulurent remplacer la loi du christianisme

par une autre forme de spiritualité appelée le « noachisme »,

c’est-à-dire une religion universelle, écartant le Christ,

pour faire de la « loi de Noé »

la référence commune à tous les peuples,

un loi de substitution à la loi chrétienne.

La représentation du peuple juif comme rebelle et subversif est très ancienne: la Synagogue a été vue depuis toujours comme « fons persecutionum », à juste titre, car dans leurs écrits, les penseurs judaïques théorisèrent le projet de domination mondiale dans un ouvrage connu sous le nom de  Talmud (תַּלְמוּד « étude »), l’un des textes les plus importants du judaïsme rabbinique, tout de suite placé après la Bible hébraïque, dont il est, en quelque sorte, le complément. Composé de la Mishna et de la Guemara, il réunit, rassemble et résume, l’ensemble des discussions rabbiniques sur tous les sujets de la Loi juive, sujets qui sont classés et partagés en six ordres (shisha sedarim, etc.), abordant tous les problèmes relatifs aussi bien à la religion, l’éthique, la morale, la vie conjugale, la médecine, l’économie, et les relations avec les non juifs.

Très tôt l’Eglise s’est inquiétée du contenu du Talmud dont on pouvait constater l’influence nocive sur le comportement des populations juives, mais il fallut cependant attendre le XIIIe siècle pour qu’une véritable politique d’examen approfondi du contenu du texte soit entreprise afin d’en déterminer la nature exacte, et surtout qu’en soient fermement condamnées les affirmations principales et les blasphèmes absolument scandaleux que l’on découvrit dans les pages de ce livre. [3]

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Abbé Joseph Lémann (1836-1915)

Les conséquences des vue talmuduques sur la civilisation chrétienne, ont été décrites remarquablement par  l’abbé Joseph Lémann (1836-1915), qui comprit en quoi, l’entrée officielle de la nation juive dans la société française lors de la Révolution, allait coïncider avec l’accomplissement dans les faits du projet talmudique, c’est-à-dire, concrètement, devenir l’acte de naissance du mondialisme :

« Cet acte de naissance, avons-nous dit, que nous plaçons sous des yeux capables de l’apprécier. L’acte de naissance, en effet, peut se rédiger ainsi qu’il suit : LA PRÉPONDÉRANCE JUIVE est née des Droits de l’homme et de la France déchristianisée, dans le local de l’Assemblée nationale: du 14 août 1789 au 27 septembre 1791, durée de cet enfantement laborieux. Deux faits d’une incalculable gravité se juxtaposent au début de la Révolution française: le renvoi du Christ et l’admission des juifs (..) nous nous bornons ici à présenter leur formule précise : Premier fait historique : Le Christ rejeté en tête de la Déclaration des droits de l’homme ; Second fait historique : Les juifs admis dans la société, en vertu de cette même Déclaration des droits. Ces deux faits, enchaînés l’un à l’autre, rappellent un contraste douloureux du passé : la préférence donnée à Barabbas sur Jésus; conséquemment l’échange de Barabbas contre Jésus, puisque l’auguste fils de David appartenait, en propre, au peuple d’Israël, par son sang, ses miracles, son patriotisme. Ils rappellent cette préférence, cet échange; hélas ! ils devaient aussi faire entrer le peuple français dans des phases de déception, de décadence et d’appauvrissement, où les juifs ont marché les premiers. » (Les juifs dans la révolution Française, 1889).

L’abbé Joseph Lémann, poursuit en montrant que la dominante de la mentalité juive, apatride, mondialiste, universaliste, a pour but de chasser Jésus-Christ de la Nation, de remplacer le Christ par Barabbas, en désignant Jésus de façon anonyme, selon leur volonté de faire disparaître toute trace d’identité chrétienne :

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« L’immense clameur: Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ! n’a pas été, pour le peuple juif, l’épisode le plus calamiteux de la Passion, quoiqu’il ait été le plus grave. La raison en est qu’ici-bas le sang du Christ n’exclut personne de ses effluves de miséricorde et de tendresse. Il purifie, en rosée d’amour et de rafraîchissement, les juifs aussi bien que n’importe quels autres hommes, dès que ces pauvres aveugles, se souvenant de la bienheureuse Passion (suaves et consolantes expressions de la sainte Liturgie), consentent à profiter du sang divin. L’épisode le plus calamiteux de la Passion, source d’ignominies et de désastres pour le peuple d’Israël, a été la préférence donnée à Barabbas sur Jésus. Le Juste, le bienfaiteur de la Judée, est mis en parallèle avec un infâme voleur et assassin. Une indescriptible vocifération désigne la préférence: Barabbas ! Pilate insiste pour donner aux juifs le temps de revenir sur leur choix. Avec plus de fureur, ils lui répondent: Pas celui-ci, mais Barabbas ! Ces hommes, dont l’exaspération ne connaît plus de bornes, ne daignent même pas dire JÉSUS, prononcer son nom, tant il leur semble que le prononcer souillerait leur bouche; ils s’écrient: CELUI-CI ! non, nous n’en voulons plus; c’est Barabbas que nous choisissons ! Les résultats de l’échange ne se sont pas fait longtemps attendre. » (Les juifs dans la révolution Française, 1889).

IV. L’entrée des Juifs dans la société chrétienne

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Le révérend James Anderson (1678-1739),

pasteur presbytérien,

co-auteur des « Constitutions d’Anderson » (1723)

Cette entrée dans la société civile, avait été précédée par une pénétration des Juifs dans la Franc-maçonnerie, une franc-maçonnerie alors chrétienne et légitimiste depuis des siècles, ayant participé à la construction des cathédrales d’Occident, introduite dans les monastères et y travaillant avec les moines ; le premier Juif devenu maçon date de 1716, et dès 1723 des noms juifs apparaissent clairement dans les archives de la Grande Loge d’Angleterre, le pasteur James Anderson (1678-1739), lui-même, dans la seconde édition de ses Constitutions (1738), citant plusieurs grands officiers juifs de la Grande Loge, ceci dans la logique de la pratique en vigueur en Angleterre et dans l’Empire britannique (qui vont jouer ensuite un rôle important dans l’expansion de la maçonnerie aux États-Unis ), qui était d’admettre les Juifs dans les loges.

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« Le Nouveau Judaïsme

ou la franc-maçonnerie dévoilée » (1815).

Et c’est ainsi que pour satisfaire, et ne point choquer les Juifs, progressivement, le Christ, qui avait été écarté des textes et lois de la société maçonnique – au point qu’en 1834 le « Comité du Suprême Grand Chapitre » dirigé par le duc de Sussex (1773-1843) furent introduits des noms hébreux afin de déchristianiser des rituels jugés trop chrétiens en remplaçant les multiples et nombreuses références évangéliques par des évocations de l’Ancien Testament afin d’accueillir les maçons israélites dans les Loges -, le sera également de la société civile, passant d’une nature essentiellement et profondément chrétienne, à une société laïque, athée et même antichrétienne.

La religion maçonnique, fondée sur la fraternité universelle, aboutira à la « religion » nouvelle des droits de l’homme, et  au déisme vague, comme le montre un ouvrage publié au début du XIXe siècle: « Le Nouveau Judaïsme ou la franc-maçonnerie dévoilée » (1815).

VI. La fausse tradition du « noachisme » judaïque

Ce que l’on y apprend, c’est que les célèbres « Constitutions d’Anderson », selon leur nom complet : « Constitution, Histoire, Lois, Obligations, Ordonnances, Règlements et Usages de la Très Respectable Confrérie des Francs-maçons acceptés », l’un des textes fondamentaux de la Franc-maçonnerie moderne, puisqu’il s’agit des premières Constitutions rédigées par le révérend James Anderson (1678-1739), pasteur presbytérien  en collaboration avec le huguenot Jean Théophile Désagulier (1683-1744), en 1723, de la première Grande Loge créée quelques années auparavant en 1717, exposent nettement le projet talmudique judaïque.

Le texte initial, de 1723, avait pour préambule :

« Un Maçon est obligé par sa Tenure d’obéir à la Loi morale et s’il comprend bien l’Art, il ne sera jamais un Athée stupide, ni un Libertin irreligieux. Mais, quoique dans les Temps anciens les Maçons fussent astreints dans chaque pays d’appartenir à la Religion de ce Pays ou de cette Nation, quelle qu’elle fût, il est cependant considéré maintenant comme plus expédient de les soumettre seulement à cette Religion que tous les hommes acceptent, laissant à chacun son opinion particulière, et qui consiste à être des Hommes bons et loyaux ou Hommes d’Honneur et de Probité, quelles que soient les Dénominations ou Croyances qui puissent les distinguer; ainsi, la Maçonnerie devient le Centre d’Union et le Moyen de nouer une véritable Amitié parmi des Personnes qui eussent dû demeurer perpétuellement Éloignées. » (Constitutions d’Anderson, 1723).

Mais en 1738, lorsque la « Grande Loge de Londres » devint la « Grande Loge d’Angleterre », les Juifs étant entrés de façon significative dans la Franc-maçonnerie anglaise, le texte fut ainsi modifié, introduisant une notion nouvelle, celle du « noachisme » [4] :

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« Un maçon est obligé par sa tenure d’obéir à la loi morale en tant que véritable noachite et s’il comprend bien le métier, il ne sera jamais un athée stupide, ni un libertin irreligieux, ni n’agira à l’encontre de sa conscience. Dans les temps anciens, les maçons chrétiens étaient tenus de se conformer aux coutumes chrétiennes de chaque pays où ils voyageaient. Mais la maçonnerie existant dans toutes les nations, même de religions diverses, ils sont maintenant tenus d’adhérer à cette religion sur laquelle tous les hommes sont d’accord (laissant à chaque frère ses propres opinions) c’est à dire être hommes de bien et loyaux, hommes d’honneur et de probité, quels que soient les noms, religions ou confession qui aident à les distinguer: car tous s’accordent sur les trois articles de Noé assez pour préserver le ciment de la Loge. Ainsi la maçonnerie est leur centre de l’union et l’heureux moyen de concilier des personnes qui, autrement, n’auraient pu que rester perpétuellement étrangères. » (Constitutions d’Anderson, 1723).

VI. Le projet talmudique conduit au noachisme

Ce « véritable noachite », selon l’expression des « Constituions d’Anderson », est le parfait exemple de l’homme anciennement chrétien, aujourd’hui soustrait et éloigné de sa religion, respectant les prescriptions de la loi mosaïque en s’étant mis à distance du Christ au prétexte de laïcité.

Le noachisme c’est la contre-religion mondiale des démocraties occidentales, une contre-religion qui ne concerne que les goys, les « Gentils », les non-Juifs – car les Juifs eux, au moment où les Nations chrétiennes sont invitées à se vider de plus en plus de leur essence spirituelle, conservent intégralement leurs préceptes traditionnels et y veillent jalousement -, une contre-religion antichrétienne, fruit de la conjuration talmudique et des loges, dont la Franc-maçonnerie est devenue l’instrument, la machine de guerre idéologique.

Cette contre-religion noachite et talmudique, portée par la Franc-maçonnerie, est à l’œuvre depuis le XVIIIe siècle, elle a triomphé lors de la Révolution Française, et depuis, n’a de cesse de poursuivre son projet destructeur antichrétien.

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La Révolution a mis en œuvre une politique antichrétienne terrifiante,

elle organisa une déchristianisation violente et criminelle.

La Révolution a mis en œuvre une politique antichrétienne terrifiante, elle organisa une déchristianisation violente et criminelle qui eut pour but d’en finir avec le christianisme de la vie quotidienne en France : prêtres déportés ou assassinés, religieux contraints à abjurer leurs vœux, croix et images pieuses détruites, fêtes religieuses interdites, agendas modifiés, et interdiction du culte public et privéToutes les congrégations furent supprimées le 18 août 1792. La Commune de Paris, sous l’impulsion de son procureur-syndic Chaumette, sera la première à prendre, après le 10-août, des mesures anticléricales : interdiction du port du costume ecclésiastique (12 août), interdiction des processions et manifestations religieuses sur la place publique (16 août). L’an II (septembre 1793-septembre 1794) voit l’apogée de la politique de déchristianisation.

Comme le souligna, à juste titre Joseph de Maistre (1753-1821) : « Il y a dans la Révolution française, un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu’on a vu et peut-être de tout ce qu’on verra. » [6]

Conclusion : la contre-religion du Nouvel Ordre Mondial

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Le « noachisme » est une « contre-religion »

pensée par les rabbins talmudistes

qui s’est emparée de la Franc-maçonnerie

Ce caractère « satanique », nous en connaissons à présent l’origine et la source, nous savons également, à quoi travaillent les forces liguées du noachisme talmudique et de la Franc-maçonnerie laïque : l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, fondé sur une société multiculturelle dans laquelle vivent des individus déracinés, des consommateurs anonymes achetant, aux quatre coins de la planète dans des villes aux populations hétérogènes de par les incessants flux migratoires, les produits du commerce standardisé, des créatures sans mémoire ni identités converties à la philosophie de l’hédonisme individualiste, des égocentrismes boursouflés, mentalement fragiles et décérébrés, devenus les victimes consentantes du libéralisme consumériste.

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Les forces liguées du noachisme talmudique

et de la Franc-maçonnerie laïque 

travaillent à l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial.

Tel est le rêve fou et mercantile de la société libérale – sachant que le capitalisme n’est pas un simple système économique mais une « religion » dévoyée -, celui du progrès marchand, du commerce perpétuel, aspirant à un « bonheur » borné au plan horizontal et terrestre, oublieux de la dimension transcendante, organisé par des hommes qui, depuis l’épisode de la Tour de Babel, cherche à conquérir la béatitude céleste par des moyens matériels en voulant édifier par la force prométhéenne la « Jérusalem terrestre », contrefaçon sinistre, maléfique et obscure de la « Jérusalem céleste ».

Comme l’écrit avec pertinence Pierre Hillard : « Cette espérance du bonheur purement terrestre reposant sur l’idée du« Progrès », que nous retrouvons sous des formes variées dans le marxisme et le libéralisme, est en contradiction complète avec le catholicisme. La religion trinitaire, considérant le passage sur terre comme une série d’épreuves et comme un tremplin, a une espérance céleste. Ces deux universalismes sont incompatibles. Cela n’a pas empêché les autorités de l’Église, depuis Vatican II, d’affirmer dans un ouvrage « Le peuple juif et ses saintes Écritures dans la Bible chrétienne », que « L’attente juive messianique n’est pas vaine » (chapitre II, A5). D’un point de vue catholique, cette affirmation est une hérésie car le Christ est le Messie, passé il y a 2000 ans. Cette contradiction flagrante n’a pas empêché ce livre, paru en 2001, d’avoir comme préfacier… le cardinal Joseph Ratzinger. Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des États-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. Il semblerait que les choses s’accélèrent. En effet, le 23 septembre 2012, toutes les communautés juives du monde ont appelé, par une courte prière, à l’arrivée du Messie (Mashia’h). Pour les catholiques, cela équivaut à appeler l’antéchrist. Compte tenu de la déliquescence de l’Église depuis Vatican II, cette prière est comme un appel à une mutation profonde. Il est vrai que le mondialisme est un messianisme pressé. » [6]

Nous sommes donc en présence d’une authentique religion avec le « noachisme », en fait une authentique « contre-religion » pensée par les rabbins talmudistes, une contre-religion à laquelle collabore l’Eglise moderniste depuis, non pas seulement le terrible concile Vatican II fruit de la désorientation théologique, mais dès le Concordat consenti par Pie VII avec le pouvoir révolutionnaire régicide et antichrétien en 1804, une contre-religion ennemie de l’Eglise qui s’est emparée de la Franc-maçonnerie andersonienne, et qui anime « spirituellement » (sic) le Nouvel Ordre Mondial, dont la prétention à l’universalisme n’est pas moindre que celle de l’Eglise de Jésus-Christ, mais, et en cela consiste toute le caractère terrible de ce pervers projet idéologique, il s’agit d’un universalisme démoniaque au service des puissances des ténèbres !

Lire :

St. Michel

Qu’est-ce que la «Tradition» ?

Eclaircissement au sujet des éléments spirituels,

historiques et religieux,

 constitutifs de la sainte Tradition chrétienne

Notes.

1 – Pour René Guénon, l’essence de la Tradition primordiale se retrouve de façon privilégiée dans la tradition hindoue qui est détentrice d’une source directe d’une incomparable pureté à l’égard des fondements premiers de la « Science Sacrée » d’origine non-humaine selon-lui, plaçant les autres traditions dans une sorte de situation de dépendance à son égard, comme il le déclare de manière catégorique et stupéfiante en affirmant  :« La situation vraie de l’Occident par rapport à l’Orient n’est, au fond, que celle d’un rameau détaché du tronc .» (R. Guénon, Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues, 1è partie, chapitre 1.)

2 – C’est sans doute dans le livre XV de son ouvrageLa Cité de Dieu, que saint Augustin, Père et docteur de l’Eglise, développera le plus complètement l’exposé de sa doctrine qui deviendra l’une des colonnes fondatrices de la théologie chrétienne en Occident.

3- Clément VIII se distinguera en renouvelant, le 28 février 1593 – après avoir expulsé les Juifs des Etats pontificaux par le bulle Caeca et Obduratatrois jours plus tôt (25 février 1593) -,  dans la bulle Cum hebraeorum malitiales anciennes interdictions de lire, vendre, imprimer ou posséder des exemplaires du Talmud, s’appuyant pour ce faire sur les actes des papes antérieurs, qu’il désignait nommément : Grégoire IX, Innocent IV, Clément IV, Jean XXII, Jules III, Paul IV (Cum nimis absurdum) et Grégoire XIII, « qui ont souvent appelé ce Talmud impie, puis damné, interdit et ont souhaité que soit exterminé du monde chrétien d’autres écritures pareilles et détestées » (qui saepius impium illud Thalmud nuncuparunt, et alia similia reprobata et detestanda scripta et volumina damnarunt, et retineri prohibuerunt, seu alias ex Christiani Orbis Provinciis et Regnis pro zelo exterminarunt).

4 – En 1813, après la scission entre les « Anciens » et les « Modernes », les deux courants se réunifièrent en formant l’actuelle « Grande Loge Unie d’Angleterre » qui arrêta le texte suivant : « Concernant Dieu et la religion: un maçon est obligé, de par sa tenure, d’obéir à la loi morale et s’il comprend bien l’Art, il ne sera jamais un athée stupide ni un libertin irreligieux. De tous les hommes, il doit le mieux comprendre que Dieu voit autrement que l’homme car l’homme voit l’apparence extérieure alors que Dieu voit le cœur. Un maçon est par conséquent particulièrement astreint à ne jamais agir à l’encontre des commandements de sa conscience. Quelle que soit la religion de l’homme ou sa manière d’adorer, il n’est pas exclu de l’Ordre, pourvu qu’il croie au glorieux Architecte du ciel et de la terre et qu’il pratique les devoirs sacrés de la morale. Les maçons s’unissent aux hommes vertueux de toutes les croyances dans le lien solide et agréable de l’amour fraternel, on leur apprend à voir les erreurs de l’humanité avec compassion et à s’efforcer, par la pureté de leur propre conduite, de démontrer la haute supériorité de la foi particulière qu’ils professent… »

5 – J. de Maistre, Considérations sur la France, ch. I. (1795).

6 – P. Hillard, Connaissez-vous le noachisme ?, 2012.

25 commentaires leave one →
  1. Absit reverentia vero permalink
    10 décembre 2015 22:27

    Non seulement le noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales des individus, mais il devenu la pensée dominante, celle qui s’exprime de partout….journaux, télés, radios, etc.

    C’est ce qu’on appelle une « idéologie », l’idéologie de la modernité triomphante.

    • hannibalgenga permalink
      10 décembre 2015 22:30

      C’est l’idéologie du Nouvel Ordre Mondial, tout simplement.

  2. Vehementer permalink
    10 décembre 2015 23:02

    Que l’Eglise puisse soutenir et encourager le noachisme, n’est pas la moindre des abominations monstrueuses auxquelles il nous est donné d’assister aujourd’hui.

    Elle qui pendant des siècles fut un rempart contre les forces de dissolution, qui sut contenir le judaïsme talmudique et les forces antichrétiennes, est devenue aujourd’hui l’un des rouages du Nouvel Ordre Mondial !

    Et en effet, cette trahison ne date pas du concile Vatican II, mais bien du Concordat de 1804 signé par Pie VII avec le pouvoir révolutionnaire. Lasuite, est dans l’ordre des choses…..si on peut dire !

    • Gerdil permalink
      14 décembre 2015 16:07

      L’Eglise moderne est une contre-façon de la véritable Eglise.

      C’est une succursale du nouvel ordre mondial, encourageant à l’immigration, au multiculturalisme, au métissage, à l’accueil des réfugiés, applaudissant à la fin de la civilisation chrétienne et se félicitant de la montée de l’islam….etc…

      Elle est devenue, depuis Vatican II, un rouage du projet de grand remplacement, adhérant au « noachisme » idéologique, c’est pourquoi, il devient un devoir de s’en éloigner….

    • Gerdil permalink
      14 décembre 2015 16:10

      Je rajoute que cet « éloignement » ne signifie pas qu’il convient de décider en son fort interne de ne plus la reconnaître comme la véritable Eglise….mais simplement prendre acte de sa profonde désorientation et d’en tirer les conséquences ….

      Une désorientation qui va jusqu’à la perversion antifrançaise et la collaboration avec la destruction de la Nation, puisque depuis plusieurs décennies une majorité de prêtres et d’évêques appellent ouvertement dans leurs prêches, les bulletins paroissiaux, les conférences, etc., à voter contre le Front National, incitent les fidèles à voter pour les partis les plus pro-avortement, pro-euthanasie et pro-LGBT, parlent de l’islam comme d’une religion « d’amour et de paix », etc., etc.

    • hannibalgenga permalink
      14 décembre 2015 16:22

      Lorsqu’on voit le cardinal Barbarin avouer qu’il récite la chahâda, la profession de foi de l’Islam ! on mesure où en est ce degré dans la « désorientation » …!

      http://www.riposte-catholique.fr/perepiscopus/islam/le-cardinal-barbarin-prononce-la-chahada-la-profession-de-foi-de-l%E2%80%99islam-2

    • Raymond permalink
      15 décembre 2015 00:19

      Vehementer énonce un blasphème!

      Et … apparemment Gerdil n’en tire aucune conséquence vraiment catholique … Il piétine allègrement le principe de non-contradiction.

    • Gerdil permalink
      16 décembre 2015 15:58

      Raymond,

      Le « principe de non-contradiction » dont font grand cas les schismatiques sédévacantistes, trouve sa limite et son impuissance face à l’origine surnaturelle de l’Eglise.

      Cette origine n’a rien de « rationnelle », ni d’aristotélicien, de même que n’entrent pas dans les schémas de la « non-contradiction » l’Incarnation, la Résurrection, ou encore le dogme de la Sainte-Trinité (difficile d’expliquer par la « non-contradiction », que la somme des trois hypostases fait « Un »…).

      Il en va à l’identique avec la vie, et le devenir de l’Eglise.

      Cette dernière, quoique défigurée, meurtrie, pécheresse, n’en demeure pas moins l’Eglise de Jésus-Christ….quelle doit d’ailleurs imiter jusqu’à l’abomination du Golgotha. On n’a pas encore tout vu à cet égard, et nous attendent certainement d’autres abominations plus épouvantables que celles que nous connaissons.

      Mais pendant tout ce temps-là, pendant qu’elle est en agonie, elle n’en demeure pas moins la sainte épouse du Christ. Se détourner d’elle en ces moments est un péché grave, car « hors de l’Eglise, point de Salut » !

    • 17 décembre 2015 13:00

      Ce fameux « principe de non-contradiction » invoqué pour l’Eglise par les chapelles sédévacantistes, est une absurdité en effet.

      Car cette loi issue de la philosophie d’Aristote, qui veut qu’on ne peut affirmer et nier le même terme ou la même proposition en même temps : « Il est impossible qu’un même attribut appartienne et n’appartienne pas en même temps et sous le même rapport à une même chose » (Aristote, Métaphysique, livre Gamma, chap. 3, 1005 b 19-20), ne s’applique pas à l’institution fondée par Jésus-Christ.

      Pourquoi ?

      Tout simplement parce qu’elle est de nature « humano-divine », ce qui signifie qu’elle est à la fois, et sous le même rapport, pleinement humaine (avec toutes les conséquences que cela implique : limite, faiblesse, péché, etc.), et pleinement divine (avec les notes constitutives de l’Eglise :une, sainte, catholique, apostolique, etc.).

      Voilà la doctrine catholique qui est oubliée par les ignorants schismatiques, pris au piège par une fausse logique perverse, qui se retranchent volontairement de l’Eglise en perdant leur âme !

  3. Lancre permalink
    10 décembre 2015 23:15

    Le relativisme religieux a toujours été condamné par les autorités de l’Eglise. Les Constitution révisées d’Anderson approuvées par la Grande Loge de Londres le 25 janvier 1738 dans son article 1er déclare : « Un vrai Maçon est obligé par son titre, de se conformer à la loi morale comme un vrai noachide… »

    C’est-à-dire établir une relation au Divin, antérieure au Nouveau Testament, c’est donc un retour pur et simple au judaïsme !

    En 1884 le 2 avril, Léon XIII publia l’encyclique « Humanum Genus » ou logiquement les francs-maçons étaient accusés de « ruiner la Sainte Église…et de dépouiller les nations chrétiennes des bienfaits dont elles sont redevables au Sauveur Jésus Christ ».

  4. Pie permalink
    11 décembre 2015 13:21

    L’abbé Georges de Nantes, avait qualifié il y a déjà plus de 40 ans, cette idéologie perverse du « noachisme talmudique », du nom fort bien choisi de « MASDU », soit « Mouvement d’Animation Spirituelle de la Démocratie Universelle ».

    Qu’est-ce que ce MASDU pour le définir ?

    Voici :

    « C’est le Messianisme révolutionnaire de Lamennais, c’est la Démocratie chrétienne de Sangnier, tout cela repris et mis en système par Jacques Maritain, ami personnel de Paul VI dans son HUMANISME INTÉGRAL.

    On peut décomposer ce système en trois parties et un important corollaire  :

    1° – L’HUMANITÉ, au lieu de l’ÉGLISE et de sa Chrétienté, est la société de salut universelle.

    2° – La Charte des DROITS DE L’HOMME en est l’ÉVANGILE nouveau, avec sa trilogie de Liberté, Égalité, Fraternité.

    3° – La Construction de la DÉMOCRATIE MONDIALE est la forme terrestre du ROYAUME DE DIEU. Elle se fera par l’avènement de la Justice et de la Paix, dans la Vérité et dans l’Amour…

    Corollaire   : La RELIGION, toutes confessions réunies, sera l’inspiratrice et l’ANIMATRICE SPIRITUELLE de l’Humanité ainsi régénérée. »

    http://crc-resurrection.org/toute-notre-doctrine/contre-reforme-catholique/opposition-papes/masdu-paul-vi/

    C’est exactement, à la virgule près, l’idéologie maçonnique noachite, dont l’Eglise est aujourd’hui devenue l’avocate !

    • Lagomer permalink
      11 décembre 2015 17:54

      Vous avez raison Pie, de faire ce parallèle entre « noachisme », idéologie du Nouvel Ordre Mondial, et ce que l’abbé Nantes désigna sous le nom de « MASDU ».

      Cependant, beaucoup, même parmi les catholiques et notamment les plus jeunes, ignorent qui fut véritablement l’abbé Georges de Nantes, fondateur du mouvement de Contre Réforme Catholique, défenseur inlassable de la Tradition contre les hérésies de Vatican II.

      Lire l’hommage de La Question : https://lebloglaquestion.wordpress.com/2010/02/18/hommage-a-labbe-georges-de-nantes/

  5. Johan permalink
    11 décembre 2015 19:03

    Le duc de Sussex, esprit libéral philo-sémite, Franc-maçon Grand-maître de la Grande Loge unie d’Angleterre,qui modifia les rituels maçonniques en introduisant des noms hébreux là où il y avait des références évangéliques et chrétiennes, est à l’origine des « Portes de l’Espérance », structure philanthropique composée d’israélites, dont il fut le Président.

    La Bible espagnole dite du Duc de Sussex dont il faisait un usage quotidien, a été retrouvée dans le département Inde et Orient de la British Library. Il s’agit d’un ouvrage de Catalogne datant de la fin du XIVe siècle, où figurent sur la double page de garde les ustensiles du Temple, dont une Menorah, divers instruments servant à l’entretien des lampes, l’Arche de l’Alliance, la Table du pain de proposition…..

    • Lozère permalink
      11 décembre 2015 20:31

      Toute cette Franc-maçonnerie anglaise qui aboutira aux Constitutions d’Anderson en 1723, est entièrement judaïsée.

      Les liens entre la couronne d’Angleterre et les Juifs se sont renforcés en 1656, lorsque Cromwell mit un terme définitif à l’interdiction des Juifs au Royaume Uni, soit plus d’un siècle avant les mêmes lois en France.

      A partir de cette date, les Juifs vont donc pouvoir vivre leur judaïsme ouvertement et former une communauté. Au 18ème siècle, la communauté juive portugaise de Londres va s’agrandir et prospérer. Le roi Charles II ainsi que ses successeurs vont poursuivre la politique de protection des Juifs initiée par Cromwell.

      Vers 1720, la communauté va s’accroître de nouveaux immigrants venus d’Italie et du Maroc. En 1760, la communauté sépharade va fonder le « Committee of Deputies » destiné à représenter les intérêts de la communauté juive auprès du gouvernement.

      Cette institution (à laquelle se joindront plus tard des synagogues ashkénazes) existe toujours sous le nom de « Board of Deputies of British Jews » (dont Sir Moses Montefiore devait être l’un des plus actifs présidents au 19èmè siècle).

      En 1800, la communauté compte 3000 membres.Les Juifs sépharades sont souvent des marchands qui commercent avec le Portugal, les Indes et les Caraïbes. Mais ils sont également médecins, chirurgiens, apothicaires, notaires, tailleurs de diamants, confiseurs ou marchands ambulants.

      Lorsque le duc de Sussex, Grand Maître de la Grande Loge Unie d’Angleterre, ouvre les loges maçonniques aux Juifs, il ne fait qu’entériner une réalité….et le lien ne se démentira plus, jusqu’à s’imposer comme le « modèle » de société « noachite » en Europe.

    • Johan permalink
      11 décembre 2015 20:45

      A ne pas oublier que l’Acte d’Union de 1813 constitutif de la Grande Loge Unie d’Angleterre…… fut l’oeuvre du duc de Sussex qui imposa des rituels déchristianisés et judaïsés (les francs-maçons qui savent cet état de fait disent pudiquement « vétérotestamentaires ») pour les trois degrés dits « symboliques » d’Apprenti, Compagnon et Maître.

      Mais il est à noter que les Ordres chevaleresques, qui sont situés au-delà des degrés symboliques, ne furent pas concernés par l’Acte d’Union, et restèrent strictement réservés aux chrétiens (par exemple les Knights Templar, ou les Chevaliers de Malte)….Et ces degrés ou « hauts grades » devraient théoriquement être demeurés tels…..Mais il y a de fortes chances que cela ne soit plus le cas dans la Franc-maçonnerie contemporaine, libérale et laïque, dont on comprend qu’elle n’aime guère ces « hauts grades » fortement teintés de christianisme !

    • Lozère permalink
      11 décembre 2015 22:29

      William Guy Carr le démontre dans « Pawns in the Game » (Pions dans le Jeu), Oliver Cromwell et William d’Orange ont été financés par des banquiers Juifs.

      La Révolution Anglaise (1649) fut la première d’une série de révolutions dans le but de leur donner une hégémonie mondiale. Et leur entrée dans la Franc-maçonnerie n’est pas le fruit du hasard.

      L’établissement de la Banque d’Angleterre par William d’Orange en 1694 était une étape cruciale. Derrière la façade, l’Angleterre est un Etat « Juif » depuis plus de 300 ans. Et c’est cet Etat qui répand dans le monde le « noachisme » comme idéologie unique.

      http://www.savethemales.ca/000447.html

  6. Crux ave permalink
    11 décembre 2015 19:16

    Appartenir à la franc-maçonnerie n’est pas anodin et être juif en plus non plus lorsqu’on approche du pouvoir. Car l’on sait alors que l’on appartient un même moule de pensée idéologique mondialiste, internationaliste, anti-religieux, anti-dieu même puisque la maçonnerie doit permettre le passage de l’individu profane à l’individu initié…..

    Le complot judéo-maçonnique existe bien mais faut-il le dire?

  7. Moria permalink
    11 décembre 2015 23:05

    Citation agoravox : « La présence permanente de l’hébreu dans les rituels. Drôle de neutralité pour des gens proclamant à qui veut l’entendre qu’ils sont neutres à l’égard des confessions religieuses….. »

    La Franc-maçonnerie c’est du judaïsme !

    Un laïcisme déguisé en laïcité comme une machine de guerre contre les religions : entretien avec Stéphane Blet, ancien Franc-maçon – Par la Taverne des pirates : http://mobile.agoravox.tv/tribune-libre/article/un-laicisme-deguise-en-laicite-51399

  8. Benoît permalink
    12 décembre 2015 18:03

    Le rite de Misraïm, à l’extension duquel ont activement travaillé deux juifs du Midi de la France, les frères Bédaride, a plus que les autres rites maçonniques encore, mis à part le Rite Ecossais Rectifié de nature chrétienne, une couleur sémitique.

    Les mots de passe et les mots sacrés, pour tous les degrés, au nombre de 95, sont tirés du Talmud ou de textes occultistes judaïques issus de la Kabbale.

    Les frères Bédarride : 1) Mardochée dit Marc, 2) Michel et 3) Jossuda dit Joseph, de religion juive, cadres des armées impériales en Italie, y reçoivent la lumière et se livrent à une intense activité maçonnique. De retour à Paris, ils y rapportent le Rite de Misraïm, né quelques années auparavant dans les milieux français de l’armée d’ltalie. À partir de 1814 et jusqu’en 1856, Mardochée puis Michel Bédarride se consacrent à sa diffusion en France.

    On accusera régulièrement ces demi-soldes de l’Empire de vivre de la maçonnerie. Mardochée, dit « Marc » Bédarride publie en 1846 « De l’ordre maçonnique de Misraïm » qui est un mélange hasardeux d’histoires légendaires et de témoignages douteux….au service d’une vision intégralement noachite non-chrétienne….

  9. Rome permalink
    12 décembre 2015 19:20

    Dans son ouvrage, « l’Ordre Maçonnique de Misraïm » ,publié en 1848, Mardochée dit «Marc» Bédarride, déclare que la Maçonnerie est aussi ancienne que le monde et relève d’une tradition perpétuelle.

    Mais pour cela, il s’en réfère uniquement à l’Ancien Testament !

    Selon lui, c’est Adam qui aurait créé avec ses enfants la Première Loge de l’humanité ; Seth succéda à son père ; Noé la fit échapper au déluge ; Cham l’établit en Egypte, sous le nom de Mitzraïm, c’est-à-dire des « Egyptiens ».

    Et toujours selon Mardochée Bédarride et ses frères, qui prend de grandes libertés avec l’histoire, le dernier maillon de cette chaîne ininterrompue est leur propre père, Gad Bédarride, juif, maçon initié en 1771 à Avignon, qui aurait reçu en 1782 la visite d’un mystérieux Initiateur égyptien à Cavaillon et dont on ne connaît que le nom mystique : «Le Sage ANANIAH».

    Cet envoyé lui aurait révélé la Maçonnerie Egyptienne et lui conféra une série de « hauts grades », évidemment tous teintés d’ésotérisme juif.

  10. hannibalgenga permalink
    12 décembre 2015 19:31

    On constate que s’il faut attendre 1877 pour que la franc-maçonnerie abandonne officiellement en France ses références au « Grand Architecte de l’Univers », il y avait longtemps, plus d’un siècle, que cette secte s’était totalement judaïsée …..et séparée de la tradition chrétienne, pour devenir l’instrument du projet mondialiste.

  11. 17 décembre 2015 18:05

    Fraternité et solidarité mondiales, lutte contre les discriminations, abolition de la peine de mort, accueil des migrants, amélioration des conditions des prisonniers, protection de la maison commune, responsabilité de chacun envers toute l’humanité souffrante…tels sont quelques uns des différents thèmes offerts à réflexion par le pape François dans son message de présentation de la 49e journée mondiale de la paix prévue le 1er janvier 2016. Un message qui aurait pu émané des officines des temples occultes plutôt que des caves du Vatican !

    Dans l’Aula Jean-Paul II du Vatican, s’est tenue hier une conférence de presse du Conseil pontifical Justice et Paix afin de le présenter au monde : «Gagne sur l’indifférence et remporte la paix. » tel est le sujet choisi par le pape.

    Les journées mondiales pour la Paix ont été voulues par le pape Paul VI. François sacrifie pour la troisième fois à cette démarche dans la continuité des papes conciliaires. Dans son Message, envoyé à toutes les chancelleries et qui trace la ligne diplomatique du Saint Siège pour l’année à venir, pas une seule fois le Souverain Pontife, qui est censé représenter le Christ sur terre, n’évoque Notre Seigneur Jésus-Christ comme seul remède à l’indifférence religieuse et unique dispensateur de la paix au monde. Ni n’appelle à la conversion des pécheurs, des hérétiques, des infidèles, des païens et des athées pour que la sainteté, source de paix, refleurisse sur la terre. Il faut dire que toutes ces vieilleries ne sont plus à l’ordre du jour depuis le concile Vatican II. Aujourd’hui, il faut être solidaires, fraternels, égaux et libres ! Et la seule conversion qui compte, c’est la conversion écolo-humanitariste !

    Dans cette perspective post-conciliaire, sont donc remerciés et loués par François les différents acteurs de cette année 2015 qui ont travaillé efficacement à la paix : les politiques et les mondialistes : « je voudrais rappeler l’effort fait pour favoriser la rencontre des leaders mondiaux, dans le cadre de la COP 21, afin de chercher de nouvelles voies pour affronter les changements climatiques et sauvegarder le bien être de la Terre, notre maison commune.», les ONG, les groupes caritatifs de toutes les religions, les journalistes «qui informent l’opinion publique sur les situations difficiles, qui interpellent les consciences.»

    Le pape tient également à souligner que la paix fraternelle et solidaire dont il parle doit trouver sa source et être inspirée par les grands documents conciliaires qui ont ouvert une ère nouvelle pour l’humanité :

    «2015 a été aussi une année spéciale pour l’Église, parce qu’elle a été marquée par le 50ème anniversaire de la publication de deux documents du Concile Vatican II qui expriment de manière très éloquente le sens de la solidarité de l’Église avec le monde. Le Pape Jean XXIII, au début du Concile, a voulu ouvrir tout grand les fenêtres de l’Église pour que la communication entre elle et le monde soit plus ouverte. Les deux documents, Nostra aetate et Gaudium et spes, sont des expressions emblématiques de la nouvelle relation de dialogue, de solidarité et d’accompagnement que l’Église veut introduire à l’intérieur de l’humanité. Dans la Déclaration Nostra aetate, l’Église a été appelée à s’ouvrir au dialogue avec les expressions religieuses non chrétiennes. Dans la Constitution pastorale Gaudium et spes, puisque « les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, des pauvres surtout et de tous ceux qui souffrent, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ », l’Église désire instaurer un dialogue avec la famille humaine sur les problèmes du monde, en signe de solidarité et de respectueuse affection..»

    Le pape a pourtant bien évoqué l’indifférence envers Dieu comme cause de conflits et d’individualisme : «La première forme d’indifférence dans la société humaine est l’indifférence envers Dieu, dont procède l’indifférence envers le prochain et envers la création.» Mais le Dieu dont il parle est-il le Dieu des catholiques ou le Dieu unique de toutes les religions ? On ne sait plus trop tellement sa pensée est révolutionnaire sur le sujet !

    Et la charité, cette vertu théologale qui tourne l’homme vers Dieu, son créateur, est remplacée par cette «solidarité», fausse charité à la mode qui tourne l’homme vers l’homme. « Solidarité avec les migrants, les détenus, les femmes discriminées au travail, les états les plus pauvres dont il faut effacer les dettes, les malades et les pauvres… pour construire «un monde fraternel et solidaire.» Cette solidarité détournée, singerie de la charité, devient ainsi d’après François une «vertu morale et attitude sociale» qui œuvre pour «la paix : fruit d’une culture de solidarité, de miséricorde et de compassion

    Alors ! Tant que le concile Vatican II avec son relativisme, son indifférentisme envers Dieu, son humanisme despotique, sa solidarité déconnectée de Dieu, et que les idéaux maçonniques restent la boussole de cette 49e journée mondiale pour la paix qui ouvrira l’année 2016, rien ne gagnera sur l’indifférence et la paix ne sera pas remportée !

    Francesca de Villasmundo

    Source : http://www.medias-presse.info/message-du-pape-francois-pour-la-49e-journee-mondiale-de-la-paix-un-condense-dideaux-francs-macons/45703

  12. 21 décembre 2015 23:44

    A reblogué ceci sur Jesus-christ Pantocrator.

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