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Vérités sur l’Histoire….

30 décembre 2009

5 commentaires leave one →
  1. Lodz permalink
    31 décembre 2009 11:18

    Voilà des déclarations pertinentes et courageuses ! On aimerait pouvoir entendre un peu plus souvent ce discours qui rétablit quelques précieuses vérités….historiques.

  2. brunsw permalink
    2 janvier 2010 00:54

    A lire sur le rapport Leuchter

    http://konktextes.over-blog.com/article-27630114.html

  3. Les Amis de la vérité historique permalink
    2 janvier 2010 00:59

    Fred Leuchter, l’un des rares experts dans le domaine de l’utilisation du gaz cyanhydrique à des fins d’exécution, a montré, au delà des impossibilités pratiques, que dans les lieux où l’on croit généralement qu’ont eu lieu des gazages massifs d’êtres humains ce gaz mortel n’a pas été utilisé de manière répétée.

    La conclusion du rapport Leuchter, telle que rédigée le 27 mars 1990, est la suivante:

    « Aujourd’hui, la question est devenue très simple. Le gaz cyanhydrique est un acide qui laisse des traces repérables longtemps après. Cette démonstration se fait en prélevant sur place des échantillons dans les parois des lieux incriminés et en les analysant en laboratoire. Les résultats sont les suivants: aucune trace de composé cyanuré dans le Krema II d’Auschwitz des traces, entre 1,9 et 6,7 mg/kg dans le Krema III des traces de 1,4 et 2,3 dans le Krema iv des traces allant de 1,7 à 4,4 dans le Krema V et des traces allant de 1,1 à 7,9 dans le Krema I. Ces chiffres doivent être comparé à l’échantillon prélevé dans le local de désinfection des vêtements: 1 050 mg/kg. On trouve donc dans ce local des traces 133 fois plus fortes que le chiffre le plus élevé observé dans les lieux donnés pour des « chambres à gaz » où les traces de composé cyanurés peuvent être imputées à des procédures de désinfection, normales dans des locaux officiellement appelés « morgues » sur les plans disponibles. »

    (Fred A. Leuchter, Rapport technique, les Annales d’histoire révisionniste, n° 5, été-automne 1988).

  4. Les Amis de la vérité historique permalink
    2 janvier 2010 01:08

  5. AVH permalink
    21 février 2010 15:29

    Un témoignage doit toujours être vérifié. Il existe deux moyens essentiels de vérifier un témoignage en matière criminelle : la confrontation du témoignage avec les éléments matériels (en particulier avec l’expertise de l’arme du crime) et le contre-interrogatoire minutieux du témoin sur ce qu’il prétend avoir vu.

    Or, dans les procès où il a été question des chambres à gaz homicides d’Auschwitz, aucun magistrat ni aucun avocat n’ont réclamé ne fût-ce qu’une expertise de l’arme du crime ; par ailleurs, aucun avocat n’a contre-interrogé les témoins en leur demandant de décrire avec précision un seul de ces abattoirs chimiques. Cela jusqu’en 1985. Lorsqu’enfin, en 1985, à Toronto, au premier procès Zündel, des témoins ont été contre-interrogés sur ces sujets, leur déroute a été totale.

    A cause de cet échec retentissant et en raison d’autres échecs antérieurs ou postérieurs à 1985, les défenseurs de la thèse de l’extermination des juifs ont commencé à abandonner une histoire d’Auschwitz essentiellement fondée sur les témoignages et ils s’efforcent, à l’heure actuelle, de lui substituer une histoire scientifique ou, du moins, d’apparence scientifique fondée sur la recherche des faits et des preuves.

    L’histoire-témoignage d’Auschwitz à la manière d’Élie Wiesel et de Claude Lanzmann est discréditée. Elle a fait son temps. Il reste aux exterminationnistes à essayer de travailler comme les révisionnistes sur les faits et sur les preuves.

    Suite :

    http://abbc2.com/islam/french/textes/faurtemo.htm

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